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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour : 24.11.2025
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Adresse au Président

Publié le 27/10/2020 à 20:34 par andrenicolas Tags : adresse au président de la république solid

Souvenons-nous du groupe Manouchian !

Publié le 24/02/2020 à 09:16 par andrenicolas Tags : sur france vie moi monde amour fond belle femme musique coeur photos mort nuit nature texte enfant roman
Souvenons-nous du groupe Manouchian !
Souvenons-nous du groupe Manouchian !
Claire VÉRILHAC

Il y a 76 ans, le 21 février 1944 au matin, les 23 résistants étrangers du groupe FTP-MOI (Francs-Tireurs et Partisans - Main d’œuvre immigrée) tombaient sous les balles nazies au Mont Valérien. La seule femme du groupe - Olga Bancic - 32 ans était transférée en Allemagne, décapitée le 10 mai 1944 à Stuttgart. Avec l'UJFP, avec Louis Aragon et Léo Ferré, rendons-leur hommage.

"Toute et tous étaient des étrangers antifascistes et communistes, venus d’Europe centrale pour la plupart : polonais, arméniens, juifs, mais aussi italiens et espagnols.
Toute et tous luttaient pour un monde enfin débarrassé du nazisme, du fascisme, un monde meilleur dont aujourd’hui nous savons que les peuples des colonies étaient les grands oubliés...

Aujourd’hui, en Europe et partout dans le monde, le fascisme et le suprématisme blanc sont à nouveau à l’œuvre comme en atteste la récente tuerie à Hanau en Allemagne.

Il ne s’agit pas d’un acte isolé mais, le dernier en date d’une longue série d’attentats et de meurtres qui, tous, touchent la communauté musulmane principalement, les demandeurs d’asile venus du Moyen-Orient, transformé en un vaste champ de ruines, les migrants noirs venus de l’Afrique sub-saharienne et les Rroms.

Toutes et tous sont les victimes des discours racistes véhiculés par la glorification du nazisme, du néo-nazisme et de toutes les autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui lui est associée.

Mais nous ne devons pas oublier que le 21 novembre 2014, lors du vote du projet de Résolution L56 de l’Assemblée Générale de l’ONU, qui s’inquiétait – à juste titre – de la renaissance de ces idéologies criminelles, l’ensemble des pays européens – dont l’Allemagne et la France – s’étaient abstenus. ...

Reniant ainsi le sacrifice des millions de martyrs européens, celui de tous les résistants qui ont participé aux mouvements de libération nationale tels les héros du groupe Manouchian.

La France n’est pas exempte de cette nouvelle expression raciste et suprématiste, loin de la !

Tous les discours – de droite comme de gauche – des plus hauts responsables de l’État entretiennent le soupçon et la peur de l’Autre, du musulman ou supposé tel, principalement.

L’islamophobie sévit aujourd’hui, comme hier, dans les années 30 où l’antisémitisme et la peur des « bolcheviques » étaient le fond commun des discours fascistes et d’extrême droite française.

Honorer aujourd’hui les héros du groupe Manouchian, c’est avant tout rappeler tout cela, se souvenir qu’eux aussi étaient des étrangers, des métèques, des indésirables ; que nous sommes comptables de leur martyre.

Il est de notre devoir de porter haut l’idéal qui les animait au travers les formes modernes des luttes, antiracistes et décolonisées, dans lesquelles nous sommes engagés.

Gloire aux héros du groupe Manouchian ! "

La commission antiracisme politique
Pour la Coordination Nationale de l’UJFP (Union des Juifs Français pour la Paix), le 21 février 2020.

"L’affiche rouge"

(strophes pour se souvenir)

poème de Louis Aragon mis en musique par Léo Ferré

La chanson restera censurée, interdite à la radio et la télévision françaises, jusqu’en 1981.

Vous n’avez réclamé ni gloire ni les larmes
Ni l’orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Vous vous étiez servis simplement de vos armes
La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans

Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes
Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants
L’affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles
Y cherchait un effet de peur sur les passants

Nul ne semblait vous voir Français de préférence
Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE

Et les mornes matins en étaient différents
Tout avait la couleur uniforme du givre
A la fin février pour vos derniers moments
Et c’est alors que l’un de vous dit calmement
Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre
Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand

Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
Adieu la vie adieu la lumière et le vent
Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Quand tout sera fini plus tard en Erivan

Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
Que la nature est belle et que le coeur me fend
La justice viendra sur nos pas triomphants
Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant

Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient le coeur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant

Léo Ferré : L’Affiche rouge (Aragon) © Léo Ferré

https://www.legrandsoir.info/

Marée populaire le samedi 26 mai à Toulon

Publié le 27/05/2018 à 20:47 par andrenicolas Tags : sud solidaires fsu cgt fi pcf photos monde roman france sur homme
Marée populaire le samedi 26 mai à Toulon

Cet après midi là, je suis allé faire des photos de la marée popu à Toulon. Le parti communiste et la france insoumise étaient bien présents avec des moyens plus importants qu'habituellement dans les manifs.

 

Les organisations ATTAC et COPERNIC bien sur avec les syndicats CGT, FSU, Solidaires, Sud, et d'autres organisations comme le mouvement de la Paix, les droits de l'homme, le DAL droit au logement et beaucoup d'autres encore que j'ai sûrement oublié et je m'en excuse platement, ce n'est pas intentionnel...

Pour voir les photos suivre le lien FB : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.1646435418811567.1073741896.100003353738427&type=3

André Nicolas Citoyen du Monde

 

Carrefour, "casserolades" et "tembourinades" contre l'aumône

Publié le 13/04/2018 à 11:08 par andrenicolas Tags : image chez photo sur pouvoir news cadeaux roman
Carrefour, "casserolades" et "tembourinades" contre l'aumône
Carrefour, "casserolades" et "tembourinades" contre l'aumône et la suppression d'emplois
Daniel Roucous
Vendredi, 13 Avril, 2018

CGT Carrefour

Les salariés de Carrefour se mettent en grève ce vendredi 13 avril et samedi 14 Avril à l'appel de la CGT Carrefour.

Pourquoi ? Ils réclament "une meilleure répartition des richesses et non l'aumone de 70 à 150 euros de chèques cadeaux en guise de participation aux bénéfices" et dénoncent "les salaires de misère et les suppressions d’emplois".
En réponse à des grèves historiques chez Carrefour, initiées dès le 7 Décembre par la CGT, la direction tente de mettre fin à ce mouvement de contestation sans précédent. Pour celà, elle "offre" un bon d’achat entre 70 et 150€ et quelques mesurettes qui "ne règlent en rien les problèmes des salariés lors des passages en location gérance et les suppressions d’emplois notamment pour les « ex-DIA »", selon la CGT Carrefour.

Elle met en parralèle cette énormité : "un bon d’achat à dépenser chez Carrefour entre 70 et 150 € pour les salariés, 356 millions d’euros versés en dividendes aux actionnaires ! Pour les augmentations de salaire, c’est la même injustice ! La direction propose des augmentations de salaires insignifiantes, alors que pour les dirigeants Carrefour c’est une augmentation de 78 %."

Rappelons aussi que Carrefour bénéficie d' qui se chiffrent à plusieurs millions d'euros non pas destinés aux actionnaires mais à l'emploi et au pouvoir d'achat des salariés.

A l'inverse dees autres organisations syndicales qui annoncent dans la presse qu’elles sont satisfaites des propositions de la direction, la CGT n'est pas d'accord parce que "rien n'est réglé et ça laisse présager rien de bon pour la suite du mouvement." Elle estime que "ceux qui cautionneront ces propositions seront responsables d’avoir voulu mettre fin à une lutte qui a de grandes chances d’aboutir à de réelles avancées en termes de salaires et de pouvoir d’achat. Les intérêts des salariés avant tout."
Elle demande donc "autres organisations syndicales d’appeler, comme la CGT, les salariés à se mobiliser fortement lors des 2 week-end du 1er et du 8 mai afin de faire pression sur la direction pour obte

http://www.humanite.fr/

La loi Chassaigne attendue dans les campagnes

Publié le 02/03/2018 à 13:24 par andrenicolas Tags : image monde bonne france chez mer photo mode femmes fille texte loisirs pouvoir voyage news maison pcf roman
La loi Chassaigne attendue dans les campagnes
Retraites agricoles. La loi Chassaigne attendue dans les campagnes
Olivier Morin
Jeudi, 1 Mars, 2018
L'Humanité

Les faibles pensions des retraités agricoles obligent nombre d’entre eux à poursuivre une activité. Maurice Subervie/Onlyfrance.fr
 

Posant le principe d’une pension de retraite à 85 % du Smic au lieu de 75 % actuellement, la proposition de loi défendue par le député PCF du Puy-de-Dôme répond à de réelles aspirations du monde paysan.

Michel Billière a fait valoir ses droits à la retraite depuis dix ans. Pourtant, cet agriculteur qui cultivait du tabac blond, de la vigne et du maïs dans son exploitation du Gers a encore passé tout l’hiver à tailler les vignes. Celles des autres. Avec moins de 800 euros de pension mensuelle, le retraité se loue comme ouvrier agricole dans les fermes voisines. « Je fais les semis, les travaux viticoles et les moissons… mais je suis moins leste qu’il y a dix ans », explique-t-il. Des loisirs ? Michel Billière en a peu. « La chasse, la pêche. Le dernier voyage que j’ai fait, c’est ma fille qui me l’a payé. » D’ailleurs, sans ces boulots saisonniers qu’il effectue autour de chez lui, ce « retraité-mais-pas-tout-à-fait » confie qu’il ne pourrait pas s’offrir ces quelques distractions. « Je suis très en colère », avoue-t-il. Alors, quand il a appris que sa retraite pourrait passer à 85 % du Smic grâce à une proposition de loi du député communiste André Chassaigne, Michel Billière s’est dit qu’il pourrait peut-être « poser un peu le sécateur ».

Un texte adopté à l’unanimité à l’Assemblée nationale

Un texte qui pourrait bien changer la situation de 85 000 retraités agricoles, qui verraient leur pension de retraite passer à 85 % du Smic au 1er janvier 2018 avec effet rétroactif, si le texte de loi est voté en l’état le 7 mars prochain au Sénat. Dernière étape de son processus parlementaire, puisque ce texte a été voté à l’unanimité lors de la niche des députés de la Gauche démocrate et républicaine (GDR) à l’Assemblée nationale le 2 février 2017, puis par la majorité de la commission des Affaires sociales du Sénat le 22 février dernier. Même les pensions des salariés agricoles de l’outre-mer pourront bénéficier de revalorisations, au regard de leur extrême faiblesse et des inégalités de traitement. Le dispositif leur octroie le bénéficie d’attribution de points complémentaires et l’extension du bénéfice du régime complémentaire.

« C’est une bonne chose que le Parti communiste ait pris en main cette question des retraites agricoles avec cette proposition de loi », estime Roger Tréneule, producteur de tabac à la retraite en Dordogne et secrétaire général de l’Association nationale des retraités agricoles de France (Anraf). C’est que, depuis que la profession agricole (avec les autres indépendants) a refusé de rejoindre le régime général en 1945, les pensions sont restées inférieures à celles des autres salariés. Et ce sont les paysans qui touchent les plus faibles : 700 euros par mois en moyenne, selon l’Anraf, avec une nette différence pour celles des femmes, qui ne touchent en moyenne que 570 euros par mois. Cette pension se situe bien en dessous du seuil de pauvreté (1 008 euros) et contraint les retraités de l’agriculture à se priver et à poursuivre une activité quand ils le peuvent pour arrondir les fins de mois. Une situation de détresse validée un brin cyniquement par les pouvoirs publics, puisque les anciens paysans ont l’autorisation de continuer à cultiver une « surface de subsistance » après leur retraite. Adaptée en fonction des régions et des cultures, celle-ci excède rarement 4 hectares. « On a aussi des chefs d’exploitation qui repoussent leur départ en retraite. Ça peut retarder l’installation de jeunes et les décourager », estime Roger Tréneule. Pierre Esquerré, ancien vigneron et président de l’Anraf, ajoute que, pour les retraités qui deviennent dépendants, « c’est quasiment impossible de rentrer en maison de retraite ». Et d’évoquer l’écart entre les 2 000 euros mensuels dont il faut s’acquitter pour y séjourner et les 700 euros de moyenne des pensionnés.

Un financement qui garantit l’équilibre du régime agricole

Une situation qui révoltait périodiquement mais de façon symbolique la droite et une partie de la gauche… sans que jamais les majorités au pouvoir s’y attaquent. « Il faut du courage politique pour mettre en œuvre un financement nouveau », précise André Chassaigne. De fait, la proposition de loi prévoit de surtaxer les transactions financières en augmentant la taxe déjà en place de 0,1 %. De quoi dégager les 266 millions d’euros nécessaires à la mesure. Et même de combler le déficit du régime agricole de 200 millions d’euros !

Ces militants qui ne désarment pas pour défendre les CHSCT

Publié le 10/12/2017 à 13:49 par andrenicolas Tags : image vie france photo femme travail mort mode divers internet sur pouvoir news cadeaux saint maison roman
Ces militants qui ne désarment pas pour défendre les CHSCT
Ces militants qui ne désarment pas pour défendre les CHSCT
Loan Nguyen
Jeudi, 7 Décembre, 2017
L'Humanité

Le 21 novembre à Lyon, manifestation des salariés après le classement « amiante » de leur usine du site RVI-Vénissieux. Rolland Quadrini/KR Images Presse
 

Santé au travail. Élus du personnel et professionnels de la prévention des risques au travail ont témoigné, lundi à Paris, de l’importance des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. Ils luttent pour que leur dissolution n’aggrave pas l’impunité patronale.

«J’ai eu récemment au téléphone un veuf dont la femme est morte d’un cancer de l’amiante – un mésothéliome. 317 jours avant sa mort, son employeur lui disait encore : “Vous ne savez pas la chance que vous avez de travailler dans cette entreprise.” L’enjeu des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), c’est le droit au respect », martèle Alain Bobbio, retraité, ex-élu CHSCT sur le site de Sanofi Romainville pendant vingt ans et membre de l’Association nationale de défense des victimes de l’amiante (Andeva), qui a accompagné, au travers de la section départementale de Seine-Saint-Denis de l’association, 280 familles de victimes de la fibre cancérogène. Pour ce militant infatigable de la protection de la santé des travailleurs, supprimer les CHSCT, comme le prévoient les ordonnances Macron, constitue « une attaque majeure contre la santé et la vie des salariés dont le prix à payer sera plus d’accidents de travail, plus de maladies professionnelles et plus de décès dus au travail ». À la bourse du travail de Paris ce lundi, ils sont environ 200 venus comme lui d’un peu partout en France pour clamer leur attachement à ces instances dédiées à la prévention des risques.

Durant sept heures, des dizaines de témoignages, majoritairement de représentants du personnel d’entreprises privées comme d’organismes publics, mais aussi d’inspecteurs du travail, d’experts en santé au travail, d’un avocat et d’un médecin du travail, se succèdent au micro pour rappeler l’apport des CHSCT dans la défense des droits des salariés et la menace que fait peser leur dissolution au sein du nouveau comité social et économique (CSE), créé par les ordonnances Macron. De l’explosion de l’usine AZF au harcèlement sexuel en passant par les suicides liés au travail, les champs d’action couverts par ces instances sont divers et d’une importance cruciale. Au moyen d’enquêtes sur les accidents du travail, de droits d’alerte pour danger grave et imminent, d’analyses des risques auxquels sont exposés les salariés, d’expertises indépendantes, ces comités avaient ainsi le pouvoir de « montrer l’incompatibilité entre la protection de la santé des salariés et le mode de production capitaliste et du néomanagement », comme le résume Pascal Vitte, élu CHSCT dans un centre d’appels Orange. Un contre-pouvoir aux directions d’entreprises qui ont contribué à en faire une « bête noire » du patronat.

On sait ce que signifient les termes de « souffrance au travail »

« Dans les CHSCT, on ne faisait peut-être que 10 % de ce qu’on voulait faire. Mais c’était déjà 10 % de trop pour les employeurs », résume Jean-Gabriel Lainey, membre SUD du CHSCT dans l’une des nombreuses entités d’Orange (ex-France Télécom). Dans la maison, on sait ce que signifient les termes de « souffrance au travail » ou de « risques psychosociaux ». À la suite de la vague de suicides qui a endeuillé cette ancienne entreprise publique entre 2008 et 2009, le rôle des CHSCT a été indispensable pour montrer le lien entre la souffrance des salariés et une organisation pathogène du travail. « Mais maintenant, si le CHSCT veut voter une expertise, cela devra être financé par le budget du CSE. Et, pour peu que la direction prévoie de fusionner les budgets de fonctionnement et d’action culturelle et sociale – une possibilité introduite par les ordonnances –, on va se retrouver confronté au choix entre l’expertise et les chèques cadeaux de fin d’année aux salariés », redoute le militant.

La question des risques psychosociaux et de leur difficile objectivation du fait de leur côté « impalpable » – comme le rappelle Ghislaine Roux, élue CGT au CHSCT des fonctions centrales d’Enedis – est devenue prégnante pour les CHSCT. Le fait d’éloigner ces acteurs de la prévention du terrain en les rendant polyvalents au sein du CSE risque de porter lourdement atteinte à leur capacité à déceler ces problèmes auprès des salariés, qui n’osent pas toujours spontanément faire part de leur souffrance. « Comment peut-on prétendre qu’en diminuant le nombre d’élus, ils pourront continuer à aller voir autant les salariés ? » s’insurge Christine Castejon, analyste du travail, qui estime que « l’un des enjeux des ordonnances est que les représentants du personnel se retrouvent à aborder ces sujets uniquement avec les patrons, et que tout cela se passe en chambre ». Une crainte que confirme Wilfried Pennetier, représentant du personnel dans un cabinet d’expertise dont la direction a fait le choix de fusionner les instances en délégation unique du personnel (DUP) élargie, comme l’a rendu possible la loi Rebsamen de 2015. « Depuis que le CHSCT a été supprimé, les sujets concernant la santé et les conditions de travail sont noyés dans l’ensemble des autres sujets », affirme-t-il. « Tant que les militants auront la mémoire des CHSCT, ils pourront peut-être encore porter ces sujets. Mais, pour les futurs élus qui n’auront pas connu cette instance ou pour les élus dans les entreprises qui n’avaient pas de CHSCT et qui se dotent d’un CSE, il y a un vrai risque de perte de savoir-faire », alerte-t-il.

Continuer le combat et dépasser les déclarations d’intention

« On n’est pas là pour saluer l’enterrement d’une instance, mais pour continuer à défendre la santé au travail », rappelle Alain Bobbio. Et, entre les murs de la bourse du travail ce jour-là, c’est bien la détermination à amplifier la mobilisation qui domine. D’autant que pour certains – comme les agents du public – l’expérience des CHSCT a un goût d’inachevé. Les fonctionnaires d’État et territoriaux ne bénéficient d’une instance similaire au privé que depuis 2011. « Et encore, on ne dispose pas du droit à l’expertise, on n’a pas le pouvoir d’agir en justice et nos heures de délégation sont en moyenne de 30 % inférieures à celles du privé », rappelle Gérald Le Corre, inspecteur du travail, responsable de la CGT de Seine-Maritime et secrétaire du CHSCT du ministère du Travail. Si les ordonnances Macron ne prévoient que de supprimer les CHSCT du privé, les agents du public craignent que leurs instances ne disparaissent à leur tour.

Et, pour continuer le combat, les participants entendent bien dépasser les déclarations d’intention. Appel à négocier des accords de branche ou d’entreprise pour obtenir la préservation d’instances avec les mêmes moyens et pouvoirs que les CHSCT actuels, à se battre pour que les suppléants au CSE puissent siéger en même temps que les titulaires ou que les représentants du personnel soient informés au jour le jour des accidents de travail, exigence du maintien de la personnalité juridique des futures commissions héritières du CHSCT, constitution d’un véritable réseau intersyndical et citoyen sur la défense de la santé au travail, appel pour une assemblée nationale de la santé au travail en juin 2018 et ses déclinaisons régionales. D’ici là, les participants espèrent agréger à leur cause d’autres représentants du personnel et organisations syndicales, des professionnels de la santé au travail, des chercheurs et des citoyens à travers leur site Internet (1).

Travail. Des militants dans le viseur du ministère

Publié le 20/11/2017 à 14:13 par andrenicolas Tags : image france photo travail mode sur martine news écran roman
Travail. Des militants dans le viseur du ministère
Travail. Des militants dans le viseur du ministère
Lola Ruscio
Vendredi, 17 Novembre, 2017
L'Humanité

Une militante Sud-Travail a été suspendue de ses fonctions pendant un mois et risque une révocation. En cause : elle s’est exprimée au micro de l’Humanite.fr. Photo : Capture d'écran.
 

Les services de Muriel Pénicaud sanctionnent trois agents pour des activités à caractère syndical.

La sanction est sévère. Un blâme a été infligé à deux militants cégétistes par le ministère du Travail, pour avoir soutenu une mobilisation de travailleurs sans papiers. Les faits reprochés remontent à juillet dernier : en pleine occupation de sans-papiers dans les locaux de la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi d’Île-de-France (Direccte) pour réclamer leur régularisation, deux agents estampillés CGT ont mené le dialogue entre l’administration et les manifestants.

« Pour la première fois, des syndicalistes ont reçu, à titre individuel, un blâme lié à une action syndicale », dénonce Martine Corneloup, secrétaire générale du Syndicat national travail-emploi-formation professionnelle CGT (SNTEFP-CGT). Elle y voit une tentative de museler l’organisation, en première ligne pour défendre ces travailleurs étrangers particulièrement vulnérables. Le syndicat déposera la semaine prochaine un recours gracieux contre cette décision.

Blâmes, procédures disciplinaires, et risque de révocation

Ces syndicalistes ne sont pas les seuls dans le viseur du ministère. Une militante SUD travail a été suspendue de ses fonctions pendant un mois et risque une révocation. En cause : elle s’est exprimée au micro de l’Humanite.fr, à l’occasion d’un rassemblement appelé notamment par Solidaires, le 12 octobre dernier. À l’image, sa qualité d’inspectrice du travail apparaît. Un détail assez grave aux yeux de l’administration pour considérer que son droit de réserve n’a pas été respecté. Le journaliste assure pourtant qu’il a mentionné de sa propre initiative le titre « inspectrice du travail » présent à l’image. Pour Martine Corneloup, la décision de l’administration montre que la répression syndicale monte d’un cran.

« Affichages abusifs », « usage illicite de mails »… selon le SNTEFP-CGT, le ministère est à l’affût des moindres détails pour traquer les syndicalistes dans ses propres services. Autre exemple : un courrier d’avertissement envoyé à un militant pour avoir participé à un débat sur la loi travail… en qualité de syndicaliste. Face à ces attaques, la CGT fait savoir qu’elle « mettra tout en œuvre pour défendre les libertés syndicales » et « n’admettra pas les décisions discriminatoires prises à l’encontre des militants ». Et le syndicat d’exiger le retrait des blâmes et l’arrêt des procédures disciplinaires. 

Nous bloquons toutes les stations Velib' jusqu'à ce...

Publié le 15/11/2017 à 16:24 par andrenicolas Tags : image monde chez article fond société travail cadre sur news éléments actualité roman
Nous bloquons toutes les stations Velib' jusqu'à ce...
« Nous bloquons toutes les stations Velib' jusqu'à ce qu'on nous entende!»
Mercredi, 15 Novembre, 2017
 

Les salariés de Cyclocity (Velib') ont fait éclater leur colère ce mercredi 15 novembre. Ils exigent d'être entendu sur le transfert de leur contrats de travail et la négociation d'un juste Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). Ils menacent de bloquer tout le système si aucun signe ne leur est donné en ce sens.

Bambo Cissokho, secrétaire du CE de Cyclocity, élu Sud Solidaire, réagit en direct sur le piquet de grève dréssé ce matin :

https://www.facebook.com/humanite.fr/videos/10155883334073695/

Le TGI (tribunal de  grande instance) de Nanterre a débouté, mardi 14 novembre, les salariés de Cyclocity, en charge des Vélib' qui demandent le transfert de leurs contrats de travail avec leurs acquis chez Smovengo, le repreneur du système de vélo en partage à Paris Métropole.

Il n'a pas accepté la demande par leurs IRP (instances représentatives du personnel) ainsi que les syndicats CGT et Sud Commerce d'application des articles L1224-1 à L1224-4 du code du travail

L'article L1224-1 du code du travail exige que tous les contrats de travail en cours doivent être repris par le nouvel employeur en cas de modification dans la situation juridique de l'employeur (ici Cyclocity filiale de JCDecaux) par succession, vente, fusion, transformation du fonds et mise en socité de l'entreprise.

Pourquoi les juges ont débouté les représentants des salariés ? Parce que, selon eux, ce n'est pas aux instances représentatives des salariés et à leurs organisations syndicales de demander le tranfert de leurs contrat de travail. 

"L'action en revendication du transfert d'un contrat de travail, expliquent-ils, est un droit exclusivement attaché à la personne du salarié et non aux syndicats". En clair, chaque salarié doit demander (y compris en justice) le tranfert de son propre contrat de travail.

Rappelons que le 1er janvier 2018, le système Vélib' sera géré par la société Smovengo à la place de JCDecaux tout en conservant la marque Vélib'. Le patron de la nouvelle société a simplement invité les 267 salariés de Vélib' "à postuler sans tarder" pour être repris "dans des conditions salariales équivalentes, ce qui ne veut pas dire identiques". Proposition jugée inacceptable par la CGT car elle se traduirait par "une perte de salaire de 300 euros."

Dans un entretien au journal Le Monde du 7 novembre, le président de Smovengo a précisé que "nous ne sommes pas du tout dans le cas de figure de l'article L1224-1 du code du travail. Celui-ci prévoit le transfert du contrat de travail qu'à deux conditions cumulatives : que l'opérateur sortant (JCDecaux) tranfère à l'entrant (Smovengo), les éléments nécessaires et indispensables à la reprise de l'activité et que cette activité soit exercée dans les mêmes conditions dans les mêmes sociétés. Or, le sortant ne transfère pas à Smovengo les éléments qui permettent de déployer les nouveaux Vélib'. Ni les vélos, ni les stations, ni les locaux d'exploitation ne sont tranférés... De plus le Vélib' de JCDecaux et celui de Smovengo sotn deux marchés différents. Dans le premier cas, il s'agissait d'un appel d'offres adossé à un marché publicitaire. Nous sommes nous dans le cadre d'un marché spécialisé de vélos en libre service... le périmètre géographique n'est pas le même et c en'est pas un projet de la ville de Paris mais de la métropole du Grand Paris.

Le TGI de Nanterre s'est prononcé sur la forme laissant sans réponse le fond soulevé par l'article L1224-1 du code du travail et son interpétation par le patron de Smovengo. Les salariés n'entendent pas en rester là et exigent des négociations collectives.

En lien

Velib-la-fin-d'un-cycle-enquête Les Echos du 7 novembre 2017

- suivre l'actualité chez les Vélib' sur Velibcyclocgt

http://www.humanite.fr/

Sandra Blondel : « Leur succès, c’est l’action »

Publié le 07/11/2017 à 17:48 par andrenicolas Tags : image monde france amis société histoire mode dieu film sur news roman
Sandra Blondel : « Leur succès, c’est l’action »
Sandra Blondel : « Leur succès, c’est l’action »
Entretien réalisé par Marie-Noëlle Bertrand
Jeudi, 2 Novembre, 2017
L'Humanité

Après son tour de France des alternatives, à vélo, en 2015, Alternatiba poursuit depuis son action dans la capitale. Marta Nascimento/REA

Dans un documentaire qui sort en salle le 8 novembre, Sandra Blondel et Pascal Hennequin racontent l’émergence, en moins de quatre ans, d’une génération de militants du climat portée par le mouvement Alternatiba. Entretien.

En 2013, le premier village Alternatiba rassemblait plus de 12 000 personnes à Bayonne. Son objectif : donner à voir les solutions citoyennes à l’œuvre pour lutter contre le changement climatique. En quelques années, l’initiative est devenue mouvement, le plus important de ce type jamais vu en France. Dans son sillon se multiplient les actions non violentes visant à dénoncer ou empêcher les crimes climatiques. Troisième long métrage documentaire réalisé par Sandra Blondel et Pascal Hennequin, Irrintzina(cri, en basque) raconte l’histoire de ce pari fou lancé par une poignée de militants de l’organisation altermondialiste basque Bizi ! de former une génération de militants capables de faire face au défi de l’urgence climatique. Il sort le 8 novembre en salle (1), pendant que se tiendra la 23e conférence internationale sur le climat (COP23) à Bonn, en Allemagne. Entretien avec sa coréalisatrice.

Qu’est-ce qui vous a lancé sur la trace d’Alternatiba ?

Sandra BlondelRéalisatrice et cofondatrice du média citoyen Fokus 21Sandra BlondelLa télé basque Kanaldude. Avec Pascal Hennequin, nous avions monté un média citoyen, Fokus 21, et nous faisions déjà partie de la fédération de l’audiovisuel participatif. En 2014, Kanaldude a invité les militants de l’organisation basque Bizi ! à parler de leurs actions. À l’époque, ils avaient engagé une campagne pour pousser la Société générale à se retirer du projet de mine de charbon Alpha Coal, prévu en Australie. Ils avaient occupé l’agence bayonnaise de la banque, menaçaient de verser du charbon devant sa porte (ce qu’ils feront en juin 2014 – NDLR). Ce mode d’action nous a interpellés, d’autant qu’il leur a permis de gagner : à la fin de l’année, la Société générale annonçait qu’elle abandonnait le projet.

L’enjeu climatique était-il déjà votre terrain d’exploration ?

Sandra Blondel Non. À l’époque, notre champ d’action était celui de l’économie alternative et solidaire. Évidemment, je connaissais le problème climatique, mais je n’en avais pas saisi l’urgence. C’est en suivant Bizi ! et en comprenant la révolution géologique en cours que j’ai vraiment saisi. J’ai eu un « Oh ! My god point » (2), un de ces moments qui basculent la conscience.

L’histoire d’Alternatiba, que raconte votre film, commence dès 2013. Cette action a très vite pris de l’ampleur…

Sandra Blondel Tout à fait. L’initiative du premier village Alternatiba à Bayonne a été prise par des militants de Bizi !. À l’époque, ils n’étaient que six. Depuis, les villages des alternatives se sont multipliés par centaines et l’équipe d’animation, désormais nationale, compte entre 60 et 80 personnes. La clé de ce succès a été l’action. Organiser un village Alternatiba, c’est mettre les gens en mouvement de façon très concrète, accessible. On regarde sa ville, on se projette, on imagine comment mettre en scène la transition en marche… Ce truc est génial, populaire. Que l’on soit cuistot, couturière, électricien… on peut donner un coup de main. Jeunes, vieux, chômeurs, nouveaux ou anciens militants… Alternatiba a mis tout ce monde-là dans l’action. Or, c’est justement par l’action que notre imaginaire se transforme. Et pour faire face aux bouleversements à venir, nous avons précisément besoin de dépasser nos limites.

Ce mouvement est non violent, mais il s’appuie sur une stratégie quasi militaire. La méthodologie est rigoureuse, les actions ciblées et la confrontation parfois de mise…

Sandra Blondel Oui. Bizi ! a toujours revendiqué de marcher sur deux jambes, de relier mouvement social et environnemental, actions non violentes et méthodologie de formation pour faire grandir les mobilisations. D’ailleurs, leur stratégie s’est développée sur trois ans : d’abord, créer un événement déclencheur – le village Alternatiba de Bayonne. Ensuite, profiter du coup de projecteur qu’offrait la COP21, en décembre 2015, pour multiplier en amont et en aval ce type d’initiative. La plus spectaculaire sera ce tour de France des alternatives, à vélo, pendant plus de trois mois, avec une arrivée monumentale à Paris en septembre 2015. De processus de mobilisation, ils sont alors passés à l’état de mouvement : plus de 300 000 personnes avaient déjà participé à un de ces événements. Puis, les actions non violentes (occupation de sièges d’entreprise ou de banques impliquées dans l’évasion fiscale ou le financement du charbon – NDLR) se sont multipliées. Jusqu’à celle d’avril 2016, qui a fait basculer nos représentations de ce que peut être une action non violente.

Vous parlez de l’action menée lors du sommet des pétroliers à Pau ?

Sandra Blondel Oui. On imagine souvent la non-violence comme quelque chose de passif. Mais elle peut prendre une multitude de formes, et même conduire à la confrontation. Tous les ans, les multinationales des énergies fossiles se rassemblent et discutent de leur stratégie à venir. En 2016, c’est la France qui accueillait ce sommet. Une aberration ! La riposte s’est organisée. ANV-COP21 (pour Action non violente-COP21, réseau d’actions né dans le sillage d’Alternatiba, à l’origine, entre autres, d’opérations de fauchage de chaises dans les banques pratiquant l’évasion fiscale – NDLR), les Amis de la Terre, Surfrider, Attac… plusieurs organisations se sont mobilisées pour perturber la tenue de ce sommet. Pendant trois jours, 300 personnes en ont ainsi bloqué physiquement les entrées, tenant bon face aux policiers et aux gaz lacrymogènes.

Votre film sort pendant la COP23. Il est partie prenante de ce mouvement ?

Sandra Blondel La mémoire est un enjeu politique. Des mouvements comme celui-ci, il en existe depuis les débuts de l’ère industrielle, mais leur histoire a généralement été écrasée par le capitalisme. Il y a enjeu à la raconter. J’aimerais que ce film soit vu par tous, les écolos, les syndicalistes, qu’il aide à la convergence de ces luttes. Je ne vous cache pas qu’il est difficile d’exister dans le monde de l’industrie culturelle. Nous avons réussi à être diffusés en salle, le défi est maintenant d’y rester plus d’une semaine.

 

 
(1) Programme complet des projections et des débats : http://www.irrintzina-le-film.com/les-projections/ (2) « Un instant, oh ! Mon Dieu ! »
Rubrique Une planète et des hommes
 

Contre la baisse des APL, les militants PCF dans l'action

Publié le 09/10/2017 à 09:27 par andrenicolas Tags : signature sur monde pcf front de gauche
Contre la baisse des APL, les militants PCF dans l'action

A Toulon devant les écoles Fontpré, les militants communistes proposaient la pétition aux parents contre la baisse des APL qui touchent les plus pauvres et les étudiants. Excellent accueil des habitants de ce quartier Toulonnais. Près de 40 signatures ont été recueillies en un quart d'heure.

Demain les mêmes militants se retrouveront sur la place de la Liberté à 10h30 pour manifester contre les ordonnances Macron à l'appel de toutes les organisations syndicales.

André Nicolas citoyen du monde