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Les amours de Suzanne au prisme d’un kaléidoscope

Publié le 19/12/2013 à 09:23 par andrenicolas Tags : pcf frontdegauche partagedesrichesses lhumaindabord
Les amours de Suzanne au prisme d’un kaléidoscope

Suzanne, de Katell Qillévéré. France. 1h34. Avec ce deuxième long métrage, un drame familial plein de délicatesse, Katell Quillévéré donne un portrait de femme attrapée par le cœur contre toute raison.

Suzanne est une petite fille en tutu pailleté qui va se détacher subtilement du groupe de ses camarades sur la scène de music-hall d’une fête d’école. Elle est couvée des regards chaleureux de son père et de sa sœur cadette, son inséparable. La cuisine familiale d’un homme qui élève seul ses deux filles, une virée pique-nique au cimetière où repose la mère, une date de décès: 1985. Le minuscule calcul mental auquel on se livre forcément ne forme que l’un des fils de trame du film de Katell Quillévéré.

De cette entrée en matière à la durée assez brève, beaucoup de sensations seront déjà parvenues au spectateur, qui toutes rencontreront leurs échos sans que l’histoire qui court sur les vingt-cinq années suivantes soit obturée de psychologie....

Extraits

Dominique Widemann

http://www.humanite.fr/