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Par pat, le 09.05.2025
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Par pat, le 09.05.2025
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Par pat, le 09.05.2025
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Par Gobi moussa , le 09.04.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
08.10.2025
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Quatre hommes ont été arrêtées à Nice dans l'enquête sur l'attaque perpétrée jeudi soir sur la promenade des Anglais par un homme au volant d'un camion frigorifique. L'enquête progresse et essaye de déterminer si Mohamed Lahouaiej Bouhlel a agi seul. Un bref communiqué d'une agence de presse de l'organisation Etat Islamique a revendiqué l'attentat ce samedi matin, désignant Bouhlel un "soldat". Les équipes médicales sont mobilisées pour éviter que le bilan, 84 morts, ne s'alourdisse.
"Il semble qu'il se soit radicalisé très rapidement. En tous les cas, ce sont les premiers éléments qui apparaissent à travers les témoignages de son entourage", a déclaré le ministre de l'Intérieur au sortir d'une réunion à l'Elysée. "Des individus sensibles au message de Daesh (le groupe Etat islamique) s'engagent dans des actions extrêmement violentes sans nécessairement avoir participé aux combats, sans nécessairement avoir été entraînés".
"La modalité de la commission de son crime odieux est elle-même nouvelle, puisqu'il n'y a eu l'utilisation ni d'arme lourde ni d'explosif et, par conséquent, le traumatisme occasionné par la manière dont ce crime extrêmement violent a été commis choque profondément les Français. Et, en même temps, nous montre l'extrême difficulté de la lutte antiterroriste", a expliqué Bernard cazeneuve.
L'agence Amaaq, liée à l'Etat Islamique a revendiqué l'attaque, qui a fait 84 morts et plus de 200 blessés, dans un bref communiqué, décrivant Mohamed Lahouaiej Bouhlel comme un « soldat ». Un terme utilisé pour les terroristes qui agissent au nom de Daesh, mais qui ne combattent pas en Syrie.
"L'auteur de l'opération (...) menée à Nice en France est un soldat de l'Etat islamique. Il a exécuté l'opération en réponse aux appels lancés pour prendre pour cible les ressortissants des pays de la coalition qui combat l'EI"
"Ce type d'action correspond très exactement aux appels permanents aux meurtres des ces organisations terroristes, tels qu'elles le prescrivent notamment dans leurs revues ou vidéos", avait expliqué le procureur de la république devant la presse à Nice, ajoutant que l'enquête s'attacherait à déterminer "les éventuels liens" du tueur avec des groupes "terroristes islamistes".
Les enquêteurs cherchent à déterminer si Mohamed Lahouaiej Bouhlel, , a pu bénéficier de complicités. Les arrestations de samedi ont eu lieu dans deux endroits distincts de la ville, précise-t-on de source policière.
Parmi les quatre hommes placés à leur tour en garde à vue, dont l'identité n'a pas été précisée par la source judiciaire, un a été interpellé vendredi et les trois autres samedi matin.
Son ex-épouse était en outre toujours en garde à vue samedi matin.
Un des officiers de police présent sur place a précisé qu'il s'agissait de "l'entourage proche" du tueur.
Le procureur a confirmé l'identité de l'auteur de l'attentat: Mohamed Lahouaiej Bouhlel. Il aurait tiré "à plusieurs reprises sur trois policiers".
L'homme, un chauffeur-livreur, en instance de divorce, était "totalement inconnu des services de renseignement (...) et n'avait jamais fait l'objet de la moindre fiche ni du moindre signalement de radicalisation", a-t-il déclaré. Il était en revanche connu de la justice pour des "faits de menaces, violences, vols et dégradations commis entre 2010 et 2016".
"De 2002 à 2004, il a eu des problèmes qui ont provoqué une dépression nerveuse. Il devenait colérique, il criait, il cassait tout ce qu'il trouvait devant lui", a déclaré Mohamed Mondher Lahouaiej-Bouhlel, le père de l'auteur de l'attentat. Il raconte que la famille avait alors emmené Mohamed Lahouaiej-Bouhlel chez le médecin qui lui avait prescrit des médicaments pour lutter contre ces crises nerveuses. Il a décrit un homme "toujours seul, toujours déprimé" et qui ne voulait pas parler. Attentat à Nice: ce que l'on sait sur son auteur
Mobilisation et journées de deuil
La France entame samedi trois jours de deuil national décrété vendredi par le président de la république. Une minute de silence sera observée lundi à 12H00 dans le pays en hommage aux victimes.
Ce samedi matin François Hollande tient un nouveau conseil de sécurité et de défense restreint. Il est suivi par un conseil des ministres.
Le chef de l'état a préalablement annoncé une prolongation pour trois mois supplémentaires de l'état d'urgence qui devait s'achever le 26 juillet. Il en a aussi appelé à la réserve opérationnelle, c'est-à-dire à tous ceux qui à un moment ont été sous les drapeaux ou dans les effectifs de la gendarmerie pour venir soulager les effectifs de policiers et de gendarmes.
Le bilan pourrait s'alourdir. Dix enfants et adolescents ont été tués, a précisé le procureur Molins. Le bilan total de 84 morts pourrait encore s'alourdir avec "202 blessés, dont 52 en état d'urgence absolue" qui sont "entre la vie et la mort", selon lui.
Au moins 17 étrangers ont trouvé la mort dans l'attaque, dont trois Allemands, deux Américains, trois Tunisiens et trois Algériens.
Déroulé du carnage
C’était la nuit du jeudi au vendredi, peu avant 23 heures. A Nice la Promenade des Anglais à Nice était encore fermée à la circulation. Le feu d’artifice du 14 juillet venait d’être tiré et la foule déambulait après le spectacle. Un camion blanc a foncé sur les promeneurs parcourant environ deux kilomètres et provoquant un carnage avant que le conducteur ne soit abattu par la police. Sur son passage, il a laissé 84 corps selon un bilan encore provisoire, dont 10 enfants et plus de 200 blessés.
Une fois sur le front de mer, le poids lourd a suivi la courbe de la baie de Nice, en faisant toutefois des zigzags pour faucher en chemin le maximum de passants, au milieu des cris et du tumulte provoqué par cette irruption soudaine. "Il y a eu brusquement un bruit qui ne m'était pas familier. Je me suis retourné et j'ai vu arriver ce camion à dix mètres de nous. J'ai dit à tout le monde 'Courez! Courez!'", se souvient Laurent un témoin.
Au bout de sa course, Mohamed Lahouaiej Bouhlel ouvre le feu avec son pistolet automatique sur trois policiers au niveau de l'hôtel Negresco, où descendent habituellement les touristes fortunés. Les policiers répliquent et une brève poursuite s'engage. Puis la trajectoire folle du camion s'arrête définitivement 300 mètres plus loin, devant un autre établissement de luxe, le Palais de la Méditerranée. Les policiers encerclent le poids-lourd, pare-brise criblé de balles, pneus crevés. Le chauffeur est mort sur le siège passager.
Dans la cabine du camion ont été découverts un pistolet automatique de calibre 7.65 mm, un chargeur, des cartouches, des armes factices, une grenade percée, un téléphone portable qui est en cours d'exploitation et divers documents. L'enquête sur cet attentat a été confiée à la section antiterroriste du parquet de Paris.