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D'Aulnay à Bobigny un seul cri : « Justice pour Théo »

Publié le 17/02/2017 à 20:00 par andrenicolas Tags : image monde photo mode femmes rose news neige roman
D'Aulnay à Bobigny un seul cri : « Justice pour Théo »
D'Aulnay à Bobigny un seul cri : « Justice pour Théo »
Lundi, 13 Février, 2017
L'Humanité

Photo Patrick Kovarik/AFP

Des citoyens réclament un débat national sur les violences policières. Reportage.

Il neige sur la cité de la Rose des vents. Au pied de la barre déglinguée du Galion, dans les allées du marché, on presse le pas, pour échapper au froid. Quelques femmes affichent une mine désespérée, devant le rideau encore baissé du bureau de poste, fermé, cette fois, pour cause d’inondation. Précaire et dernier service public d’un quartier déserté par l’État. Sur le chemin de la mosquée, les hommes se réchauffent au Grand Café de Paris, une buvette flambant neuve et chaleureuse, inaugurée au rez-de-chaussée d’une pimpante copropriété. Avec l’arrivée prochaine du Grand Paris Express, le visage du quartier change. Pas la défiance entre habitants des cités et policiers, qui s’est enkystée. Une semaine après la mise en examen de quatre policiers, l’un pour viol, les trois autres pour violences, à la suite de la sordide interpellation du jeune Théo, 22 ans, Aulnay-sous-Bois est toujours sous le choc, en état de sidération. Une dépanneuse charrie la carcasse brûlée d’un véhicule. Au sol, les traces noires des incendies témoignent du calme précaire qui règne au nord de cette ville coupée en deux, entre un centre-ville où vivent cent cinquante familles soumises à l’ISF et des quartiers populaires rongés par le chômage, livrés aux trafics, à l’ombre de l’usine PSA, fermée en 2013. La colère gronde, après les premières conclusions de l’IGPN, la police des polices, qui ont retenu le « caractère non intentionnel » du geste du policier mis en examen pour viol. Lire la suite

Journaliste à la rubrique Monde