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Par Anonyme, le 19.11.2025
salutations s'il fallait parler de toutes les horreurs actuelles, cela ferait un sacré bouquin
cordialement
Par pat, le 10.11.2025
et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
09.12.2025
37123 articles
L’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) a publié le 29 juin une étude sur les 7,4 millions de Français qui ont changé de logement en 2014. Elle nous dit que « les communes situées dans les couronnes des villes accueillent davantage de nouveaux arrivants du même département. Ce sont principalement des couples, avec ou sans enfant, qui quittent les centres les plus denses pour s’installer en périphérie ». Mais, pour l’essentiel, l’INSEE omet d’en analyser les raisons.
Sur 7,3 millions de personnes qui ont déménagé en France en 2014, 1,9 millions ont changé de département. Dit autrement, 74% des gens qui ont changé de logement sont restés dans le même département. Ceux qui changent de département ont souvent une bonne raison de le faire, ne serait que pour s’inscrire dans une faculté. Ainsi, 310 000 étudiant ont changé de département en 2014, soit 13% des changements alors qu’ils ne sont que 3% de la population. Mais 80% de ces migrations se concentrent dans 36 départements, ceux qui disposent des grandes facultés.
Pour le reste, on change aussi de département quand on est touché par une mutation professionnelle et quand on passe de la vie active à la retraite. Ainsi, les actifs représentent 58% des arrivants dans un nouveau département alors qu’ils ne représentent que 48% de la population. Mais, comme nous le verrons plus loin, cela ne veut pas dire qu’un changement du lieu de travail soit toujours la raison du déménagement. Alors qu’ils représentent 22% de la population totale, les retraités figuraient à hauteur de 9% parmi les Français qui ont changé de département en 2014. Au-delà d’un retour vers son département rural d’origine quand on a fait carrière dans une grande agglomération, on observe chez les retraités une migration de la partie nord du pays vers le sud et vers le grand ouest.
Une analyse déficiente des raisons de ces migrationsL’étude note que « les Hauts-de-Seine et la Seine-et-Marne connaissent des soldes migratoires fortement positifs pour les actifs alors que pour l’ensemble de la population ils sont déficitaires : des population d’âge actif s’y installent, notamment pour chercher un emploi, tandis que des seniors quittent fréquemment ces départements ». Un peut plus loin on trouve un autre constat dépourvu de la moindre tentative d’analyse. Il est ainsi présenté : « Paris, le Val-de-Marne et les Hauts-de-Seine sont déficitaires (en termes de transfert de population, ndlr), malgré des taux d’entrants très importants compris entre 38 pour 1 000 et 45 pour 1 000; les départs des plus de 40 ans ne sont pas compensées par l’arrivée des jeunes de moins de 25 ans ». Et pour cause ! Se loger dans ces départements n’a rien d’évident quand on est jeune et précaire. Même quand on trouve un emploi pour livrer des repas en vélo.
On sait, les chiffres parus ces derniers jours le confirment, que la montée incessante du prix des logements à Paris incite des Parisiens à migrer vers la petite et surtout la grande couronne pour se loger à des prix moins inabordables, fut-ce au fond du département très rural qu’est encore la Seine-et-Marne. Il en est ainsi depuis une trentaine d’années, voire plus. En toute fin d’étude, l’INSEE l’admet de manière implicite en écrivant ceci : « Les communes très peu denses attirent essentiellement des couples avec ou sans enfant ui rechercheraient un cadre de vie moins urbain et un logement plus accessible par sa taille et par son prix (…) Dans une logique similaire, les communes peu denses situées en couronne périurbaine d’un pôle attirent surtout des couples avec ou sans enfant.. ». Dans les deux cas, les arrivées ont un solde positif par rapport au départ.
Le rôle croissant des métropoles régionalesLe reste de l’étude confirme des réalités que l’on connaît déjà. Avec des villes comme Montpellier et Rennes, les départements de l’Hérault et d’Ille-et-Vilaine présentent des soldes migratoires positifs dans toutes les tranches d’âge. Bien que dans des situations différentes, c’est également vrai pour des départements comme l’Ardèche et des Hautes-Alpes en raison du cadre de vie. Reste à savoir pour combien de temps si l’emploi continue de se concentrer dans les grandes métropoles et leur proche périphérie. Il y aurait là un terrain d’investigation à explorer pour les experts de l’INSEE. En se donnant aussi la peine d’analyser le bilan carbone de ces politiques qui mettent des dizaines de millions de voitures sur les routes deux fois par jour. Mais, pour le moment, ces enjeux ne sont pas pris en considération par les experts de l’INSEE.