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Par pat, le 09.05.2025
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Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
03.10.2025
37114 articles
L’Autorité de sûreté nucléaire rend un avis positif sur le projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure, mais elle émet aussi des réserves sur la sûreté des déchets bitumés.
C’est l’histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), en donnant, ce lundi, un avis positif dans le dossier préliminaire à la demande d’autorisation de création du projet controversé d’enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), n’a pas non plus offert un blanc-seing à l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) et à son projet de Centre industriel de stockage géologique (Cigéo).
D’un côté, elle a reconnu que « le projet a atteint dans son ensemble une maturité technique satisfaisante », qualifiant même ce dossier de « documenté et étayé » et y voyant « une avancée significative par rapport aux précédents dossiers ». De l’autre, elle réclame plusieurs « compléments en vue de la demande d’autorisation de création que l’Andra prévoit de déposer en 2019 ».
Ces points portent sur la justification de l’architecture de stockage, le dimensionnement de l’installation pour résister aux aléas naturels – tremblements de terre –, sa surveillance et la gestion des situations suite à un accident. Plus singulièrement, l’ASN émet de grosses réserves quant au stockage des colis de déchets bitumés. « La recherche de la neutralisation de la réactivité chimique des colis de déchets bitumés doit être privilégiée », explique-t-elle ainsi dans son rapport. « Des études visant à modifier la conception pour exclure le risque d’emballement de réactions exothermiques doivent être conduites. »
Pour l’Andra, ces recommandations n’ont rien de nouveauCes déchets, moyennement actifs, à vie longue et produits par le CEA (Commissariat à l’énergie atomique), Areva et EDF, sont conditionnés dans du bitume et stockés à La Hague, Marcoule et Cadarache. Ils représentent 18 % de ce qui sera stocké à 500 mètres de profondeur. Si le sujet n’est pas traité de manière satisfaisante, son stockage ne sera pas autorisé par l’ASN. Pour les opposants, dont Sortir du nucléaire, cette réserve ressemble à une victoire. « Autant renoncer dès maintenant à un projet dangereux, impossible à financer et imposé par la force », estime l’organisation. Pour l’Andra, ces recommandations n’ont cependant rien de nouveau. Dès le 4 juin dernier, le gendarme du nucléaire avait déjà demandé que l’impact d’un éventuel incendie souterrain soit revu. « C’est un travail auquel nous nous attelons depuis l’été », explique Michèle Tallec, cheffe du service inventaire et planification de l’Andra. Deux solutions sont à ce jour à l’étude. La première consiste dans le prétraitement de ces boues, actuellement mélangées au bitume afin de neutraliser leur inflammabilité avant de les enfouir : « Il faut se débarrasser du bitume en le brûlant ou par traitement chimique afin de le séparer des selles. C’est le CEA qui pilote ces études », poursuit Michèle Tallec. Cette solution a les préférences de l’ASN. L’autre option consisterait à revoir les alvéoles de stockage et surtout à améliorer la détection et la prévention afin de prévenir la moindre élévation de température : « Nous travaillons déjà sur ce point. » Quoi qu’il en soit, il faudra plusieurs mois avant de trouver la solution idéale et acceptable pour l’ASN. « Mais nous tenons nos objectifs. La demande d’autorisation de construction est toujours prévue pour 2019 et le lancement de la phase pilote autour de 2025 », termine la cheffe de service.