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et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
salutations... .........
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Par pat, le 09.05.2025
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Par Gobi moussa , le 09.04.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
26.10.2025
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Marianne Faithfull, fleur d’âme Vendredi, Arte, 23 h 15
Sandrine Bonnaire trouve le ton juste pour tracer le portrait plein d’empathie d’une grande personnalité du rock. Talents.
Un roman-poème de William Burroughs, le Festin nu, par la voix de Marianne Faithfull en ouverture et en clôture du film documentaire que signe Sandrine Bonnaire. Une voix qui nous accompagne depuis ses cinquante ans de carrière. Une voix qui chante l’incendie tout entier, incandescences, calcinations et voiles de fumée. Une femme et les tourments du parcours que Sandrine Bonnaire capte au présent du regard, des lignes émotionnelles et de la création musicale. Le temps du film nous révèle Marianne Faithfull dans ses parts de vérité accessibles, les retraits d’où, parfois, Sandrine Bonnaire s’obstine à la ramener. On voit Marianne Faithfull répéter avec ses musiciens. Cette continuité artistique dessine sa présence au monde. Une autre temporalité, celle des nombreuses archives, trace avec intelligence une autre portée. Intelligence, c’est le mot, entre deux femmes qui, de vie et de métier, savent de quoi il retourne des jeux de rôle.
Une très jeune fille blonde chante ce qui va devenir en 1964 un immense succès : As Tears Go By. Elle a été repérée par l’imprésario Andrew Oldham au milieu d’une fête où se trouvaient Mick Jagger et Keith Richards, grâce, dit-elle, à « un mélange d’alcool et de flair commercial ». Elle n’est pas chanteuse, et alors ? On sait à quel point elle le deviendra. Auteure également. Rien n’ira sans peine. Cette trame ou une autre, rien ne prépare ni ne saurait servir de viatique au « sex and drugs and rock’n’roll », expression à prendre au pied de la lettre. La passion partagée avec Mick Jagger, l’héroïne, les chaînes dont il faut sans cesse se défaire, Marianne Faithfull s’est à plusieurs reprises confrontée à une équation qui n’a rien de simpliste. Continuer et crever ou se réinventer. Pas une métaphysique. Un ancrage dans l’amour et dans l’art, la ténacité du désir quand tout heurte. Il fallait au moins le langage de la poésie, celui de Sandrine Bonnaire quand elle lui demande tout vif : « Pourquoi as-tu tant de mal à t’aimer ? » Mystère impénétrable pour nous qui l’aimons tant, avec son authenticité et ses questions sans réponse.