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+ieurs attaques à Ouagadougou ont fait 1trentaine de morts

Publié le 02/03/2018 à 23:05 par andrenicolas Tags : image roman france photo mode sur news
+ieurs attaques à Ouagadougou ont fait 1trentaine de morts
Burkina Faso. Plusieurs attaques à Ouagadougou ont fait une trentaine de morts
Vendredi, 2 Mars, 2018
Humanite.fr

Pendant les attaques armées dans le centre de Ouagadougou,ce 2 mars 2018. Photo Ahmed OUOBA / AFP

Des groupes armés ont mené plusieurs attaques, ce vendredi, dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou. L’état-major des forces armées burkinabé, l’ambassade de France et l’institut français ont été visés. Selon l’AFP, on compte au moins 28 personnes tuées, et 85 blessés.

 

Le gouvernement burkinabé a qualifié de « terroriste » l’attaque perpétrée et fait état d’un bilan provisoire de « six assaillants abattus, sept décès côté Forces de défense et de sécurité, six blessés dont deux civils ». L’attaque n’a toujours pas été revendiquée.

Concernant l’ambassade de France et l’Institut français, la situation est « sous contrôle » a rassuré le quai d’Orsay. Aucun ressortissant français n’aurait été tué, a fait savoir l’ambassade. « Les forces françaises au Burkina sont intervenues en soutien à l’action de l’armée burkinabé, elles n’ont pas pris part directement à l’action », a déclaré à l’AFP le porte-parole de l’armée française, le colonel Patrick Steiger. Auparavant, le ministre burkinabé de l’Information Rémis Fulgance Dandjinou avait indiqué que les militaires français étaient intervenus en « collaboration » avec les forces de sécurité burkinabé.

Ce n’est pas la première fois que Ouagadougou est la cible d’attaques terroristes. Le 13 août dernier, une fusillade, qui n’a pas été revendiquée, sur le café Aziz Istanbul avait fait 19 morts et 21 blessés. Le 15 janvier 2016, un raid islamiste contre un hôtel et un restaurant des quartiers riches de la capitale avait tué 30 personnes, dont six Canadiens et cinq Français.

Comme d’autres pays de la région, comme le Mali et le Niger, le Burkina Faso doit affronter une menace djihadiste, notamment dans les régions du nord du pays. Le Sahel a été déstabilisé par l’intervention en Libye, voulue par Nicolas Sarkozy en 2011. La chute du dirigeant libyen, Mouammar Khadafi, a entraîné un éparpillement des arsenaux, dont une partie est tombée dans les mains des djihadistes d’Aqmi (Al Qaida au Maghreb islamique). Saignés par les politiques néolibérales et austéritaires du Fonds monétaire international, les États de la région peinent à équiper et former leurs armées pour être efficaces contre la menace terroriste.

À la suite du précédent attentat, en août dernier, le président français, Emmanuel Macron avait insisté sur l’importance du G5 Sahel, à savoir que les États de la région prennent en charge leur propre sécurité. L’objectif était de mettre sur pied une force conjointe de 10 000 hommes. Lors du dernier sommet du G5 Sahel, le 6 février dernier à Niamey (Niger), le président malien avait relevé que « sur les 450 millions d’euros » nécessaires « pour le démarrage des opérations, les annonces de contribution » de la part des bailleurs internationaux « s’élèvent à près de 294 millions d’euros ».