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Par pat, le 09.05.2025
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Par pat, le 09.05.2025
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Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
16.09.2025
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Jeudi, Guillaume Pepy a remis à Élisabeth Borne la « feuille de route » d’une réorganisation de l’entreprise, poursuivant les objectifs de libéralisation contenus dans la réforme gouvernementale. L’intersyndicale s’est réunie le soir même.
Le gouvernement l’avait exigé, Guillaume Pepy s’est exécuté. Jeudi, le président de la SNCF a remis sa « feuille de route », censée fixer le cadre et le calendrier d’un nouveau projet d’entreprise à finaliser « avant la fin du mois de juillet ». Au lendemain de la présentation de la loi d’habilitation autorisant le gouvernement à réformer la SNCF par ordonnances, la direction du groupe public a donc rendu sa copie, confirmant les orientations de l’exécutif.
Édouard Philippe avait fixé la ligne dès l’annonce de la réforme : la SNCF doit « aligner ses coûts sur les standards européens », le premier ministre justifiant l’injonction par le fait que « faire rouler un train en France coûte 30 % plus cher qu’ailleurs ». Une affirmation « dont personne ne nous a jamais démontré la réalité », rappelait pourtant, il y a quelques jours, Laurent Brun, secrétaire général de la fédération CGT des cheminots.
La perspective d’un mouvement de grève se préciseQu’importe, dans un contexte où « le secteur sera demain pleinement ouvert à la concurrence, (…) ce plan d’entreprise devra permettre d’aligner les coûts sur les standards européens, d’améliorer la polyvalence des métiers, de mieux organiser le travail, de former aux métiers de demain, de renforcer la productivité industrielle, de moderniser le dialogue social et de mieux intégrer toutes les mobilités », a martelé Élisabeth Borne.
Le « programme de travail », présenté jeudi par Guillaume Pepy, reprend donc point par point les intentions du gouvernement. Il vise à construire « un pacte d’entreprise, un peu comme il en a existé à La Poste » en 2015, a indiqué le président du groupe public ferroviaire, estimant qu’il s’agit là d’un « contrat entre l’État (…), l’entreprise (…) et ses salariés ». Un « pacte » qui devra « rendre l’organisation du travail plus souple (notamment au plan local), renforcer la productivité industrielle, décentraliser le dialogue social et réduire les coûts », a détaillé Guillaume Pepy. Pour y parvenir, la direction a par ailleurs indiqué la mise en place d’un « groupe de contact avec les organisations syndicales pour piloter les discussions et construire l’agenda social des prochaines semaines ».
Subissant les tirs croisés de l’exécutif et d’un Guillaume Pepy « VRP multicartes de la stratégie ultralibérale du gouvernement », résume la CGT, les cheminots, eux, organisent la riposte. Jeudi soir, l’intersyndicale au grand complet (rassemblant toutes les organisations représentatives : CGT, Unsa, SUD et CFDT) se retrouvait une nouvelle fois pour définir des suites à donner au mouvement. Et si l’ensemble des organisations syndicales appellent d’ores et déjà à faire de la manifestation nationale du 22 mars un point fort de la contestation, la perspective d’un mouvement de grève se précise. Une grève que d’aucuns espèrent « dure et reconductible », à l’instar de SUD rail qui fustige le « dépeçage en règle de l’entreprise publique au profit de groupes privés ». L’Unsa, de son côté, n’hésite pas à parler de « bras de fer ». « On va dans le mur, (…) on va réellement vers une mobilisation des cheminots », a quant à lui déclaré Didier Aubert, le secrétaire général de la CFDT, qui estime en outre que « les réunions de la concertation sont stériles ».
Les syndicats ont désormais toutes les cartes en main et la confirmation que le « projet de la direction alimente celui d’un gouvernement qui poursuit l’objectif de déboulonner la SNCF », estime la CGT.