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Zidane, du coup de tête au coup d’arrêt…

Publié le 01/06/2018 à 23:49 par andrenicolas Tags : image monde france photo travail mode sur annonce nuit bleu news presse roman
Zidane, du coup de tête au coup d’arrêt…
Zidane, du coup de tête au coup d’arrêt…
Football.
Frédéric Sugnot
Vendredi, 1 Juin, 2018
L'Humanité

« J’ai pris la décision de ne pas continuer l’année prochaine », a lâché Zinedine Zidane devant la presse ibérique. Photo : Pierre-Philippe Marcou/AFP
 

Toujours roi de la feinte, « ZZ » annonce son départ du Real Madrid, cinq jours après un 3e titre en Ligue des champions. Sans dire où son avenir de coach s’écrira. En Bleu, peut-être ?

Roi du contre-pied mais aussi du coup de tête, Zinedine Zidane, dont la carrière de joueur s’est stoppée en 2006 sur le crâne de l’Italien Materazzi en finale de Coupe du monde, a, cette fois, mis un coup d’arrêt à sa carrière d’entraîneur au Real Madrid, jeudi, en annonçant qu’il quittait son poste d’entraîneur de l’équipe merengue, cinq jours seulement après sa troisième victoire consécutive en Ligue des champions. « J’ai pris la décision de ne pas continuer l’année prochaine », a lâché ZZ devant la presse ibérique convoquée à la dernière minute au centre d’entraînement de l’équipe madrilène.

À deux ans du terme de son contrat, l’ex-champion du monde 1998 juge être arrivé au bout d’un cycle initié en janvier 2016, date de sa nomination à la tête de l’équipe première du Real. « Cette équipe doit continuer à gagner et a besoin d’un changement. Après trois ans, elle a besoin d’un autre discours, d’une autre méthodologie de travail », a expliqué le technicien qui a remporté toutes les finales qu’il a disputées sur le banc madrilène : Ligue des champions 2016, Supercoupe d’Europe 2016, Mondial des clubs 2017, Ligue des champions 2017, Supercoupe d’Espagne 2017, Supercoupe d’Europe 2017, Mondial des clubs 2018 et Ligue des champions 2018. Un palmarès hors normes auquel s’ajoute le titre de champion d’Espagne 2017.

À Madrid, un éditorialiste de Marca, quotidien sportif à inclination madridiste, a résumé ce départ comme une « tragédie ». Presque comme si la treizième Ligue des champions de l’histoire du Real, sous l’autorité du Français, était déjà maudite. L’histoire le dira. Mais ne dit pas ce que Zidane fera à l’avenir, même s’il a glissé un « je ne cherche pas d’autre équipe » au moment de ses adieux.

Zidane possible recours comme en 2005

Voilà cependant de quoi, une veille de France-Italie préparatoire au Mondial russe (14 juin-15 juillet), remettre au goût du jour le scénario d’une arrivée de l’ex-maestro des Bleus aux commandes de l’équipe qui l’a sacré roi du monde un 12 juillet 1998. Car, si le sélectionneur Didier Deschamps, son ex-coéquipier à la Juventus de Turin et avec les Bleus, se prenait les pieds dans le tapis en Russie, Zidane pourrait apparaître comme le recours, comme lorsqu’il était sorti de sa retraite internationale en 2005 pour remettre la France sur la voie du Mondial allemand, disputé douze mois plus tard. À l’époque, il avait expliqué avoir obéi à une « voix » entendue « une nuit à trois heures du matin. » Reviendra-t-elle pour lui murmurer que le contrat de Didier Deschamps avec les Bleus – qui court jusqu’en 2020 – n’est qu’une vue de l’esprit ?