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Le collectif Luttons pour ne pas mourir appelle...

Publié le 01/07/2020 à 19:15 par andrenicolas Tags : mode texte roman partage des richesses solidarité
Le collectif Luttons pour ne pas mourir appelle...
Mercredi, 1 Juillet, 2020
Le collectif Luttons pour ne pas mourir appelle à repenser l’assurance-chômage

Pour protéger les travailleurs en contrats courts, ce mouvement, composé de quatorze associations de tous les secteurs professionnels, veut créer une annexe spécifique, à l’image de l’intermittence.

« Le premier volet de la réforme de l’assurance-chômage a durci les conditions d’accès aux allocations et mes droits se sont achevés fin février, raconte Xavier Chergui, maître d’hôtel, qui ne travaille plus depuis le confinement. Je ne touche donc pas le chômage, seulement le RSA. Avec 875 euros, je dois payer mon loyer, me nourrir, etc. Je suis en mode survie maintenant. J’ai basculé dans la précarité. »La guide conférencière Yolanda Arrondo prend le relais : « Actuellement, toutes les visites ont été annulées pour 2020. De plus, je guide beaucoup de touristes venant d’Amérique du Sud ou d’Amérique centrale. Mais, en ce moment, le Covid-19 touche ces pays de plein fouet. Donc aucun touriste ne vient de ces endroits. Mes droits ont fini en décembre 2019. Je n’ai pas toutes mes heures et je ne perçois plus aucune aide. »

Lire aussi : Chômeurs : pour eux, la crise continue encore et encore

Comme 2,3 millions d’intermittents de l’emploi, Xavier Chergui et Yolanda Arrondo subissent un emploi atypique, qui mêle contrats courts et CDD d’usage. Or, 40 % des demandeurs d’emploi sont des salariés qui occupent ces types de contrat, selon une récente étude de l’Ires (Institut de recherches économiques et sociales) qui pointe des « règles d’indemnisation (qui) évoluent dans le sens d’une moindre couverture des salariés qui occupent ce type de contrat ».

Il y a urgence

Quatorze associations de tous les secteurs professionnels se sont regroupées dans le collectif , pour réclamer l’abrogation de la récente réforme de l’assurance-chômage. Son premier volet, entré en vigueur en novembre 2019, a gravement touché les demandeurs d’emploi en durcissant l’accès aux droits. Le second a été repoussé au 1  septembre 2020 pour cause de coronavirus. Or, le confinement a déjà entraîné dans la précarité un grand nombre de travailleurs et la crise sociale s’amorce. Il y a urgence. Le collectif s’est donc réuni devant l’Assemblée nationale, espérant que des personnalités politiques comme la députée Elsa Faucillon transmettent leurs revendications pour repenser l’assurance-chômage, et notamment créer une nouvelle annexe prenant spécifiquement en compte ces emplois discontinus.

http://www.humanite.fr/