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Licenciements : derrière les grands mots, le laisser-faire

Publié le 17/12/2020 à 08:15 par andrenicolas Tags : partage des richesses roman france chez annonce texte
Licenciements : derrière les grands mots, le laisser-faire
Crise. Licenciements : derrière les grands mots, le laisser-faire
Jeudi 17 Décembre 2020

IBM vient d’annoncer 1 251 suppressions de postes en France, rejoignant la longue liste des restructurations. Face à la casse, le gouvernement promet beaucoup, mais agit peu.

Surtout, ne pas donner l’image de l’immobilisme. Ce soir du 14 Juillet, devant 9 millions de téléspectateurs, le président de la République entend empoigner la réalité à bras-le-corps : « Nous allons avoir des plans sociaux – ils ont commencé – et nous allons avoir une augmentation massive du chômage. Ce qu’il faut faire, c’est nous préparer collectivement, agir, pour défendre les emplois existants et en créer au plus vite dans les secteurs en expansion. »

« L’obsession du repreneur privé »

Ce soir-là, donc, le chef de l’État exprimait une inquiétude, et affichait ses ambitions. Mais depuis, les milliers de salariés des entreprises concernées par les plans sociaux ont souvent l’impression d’être livrés à eux-mêmes, un peu comme si le volontarisme du 14 Juillet s’était évanoui au contact des faits. C’est le cas chez Nokia ou Verallia. Chez Bridgestone, la ministre Agnès Pannier-Runacher s’est personnellement impliquée dans le dossier : lorsque le géant du pneu annonce la fermeture de son usine de Béthune (Nord-Pas-de-Calais), mi-septembre, elle mandate un cabinet de conseil pour « contre-expertiser » les scénarios étudiés par le fabricant. À la sortie d’une réunion de crise, la ministre bombe le torse. Il est hors de question de « tomber dans la fatalité »et « de se soumettre à la décision » du groupe. Las ! Quelques semaines plus tard, le verdict tombe : l’entreprise met bien la clé sous la porte, rejetant en bloc les propositions alternatives.

Depuis le début de la crise, le gouvernement a débloqué des milliards d’euros pour éviter à l’économie de sombrer, mais la plupart de ses interventions pour empêcher les multinationales de sabrer dans l’emploi se sont soldées par des échecs. Pour Guillaume Gourgues, maître de conférences...

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