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si vous avez besoin de courses privées, n’hésitez pas à me contacter au 06/08/69 15 00. j’ai une voiture class
Par Anonyme, le 19.11.2025
salutations s'il fallait parler de toutes les horreurs actuelles, cela ferait un sacré bouquin
cordialement
Par pat, le 10.11.2025
et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
22.11.2025
37121 articles
L'édito de Jean-Emmanuel Ducoin. « Muriel Pénicaud est-elle encore digne du titre de ministre « du Travail » ? »
C’est vieux comme le capitalisme : les spéculateurs aiment l’exploitation. L’exploitation des salarié(e)s. Depuis l’industrialisation de notre vieille Europe, les noms des maîtres œuvrant pour l’universelle vindicte patronale ne manquent pas. Ils s’accumulent sur une longue liste noire. Ce sont des noms de coupables, qui agissent souvent sans bruit mais qui, comme les machines, dans leur engrenage, dans leurs laminoirs, prennent les femmes et les hommes criant, tandis qu’eux, c’est en silence qu’ils les broient. Un nom vient de s’ajouter à cette triste liste. Celui de Muriel Pénicaud.
Les révélations que nous publions risquent de secouer la ministre du Travail. Non pour d’éventuelles raisons judiciaires, puisque les faits « sont légaux », nous rétorquera-t-on. Mais bien pour des questions politiques. Et morales. Voyez-vous, avant d’être nommée par Macron au gouvernement, Mme Pénicaud était directrice générale des ressources humaines chez Danone. Beaucoup louent d’ailleurs son passage chez le leader mondial des produits laitiers. Comment réagiront-ils à la lecture de l’Humanité ? Car, selon les comptes officiels de l’entreprise pour l’année 2013, que nous avons consultés, Mme Pénicaud a réalisé plus d’un million d’euros de plus-values boursières, par un simple jeu d’écritures, en une seule journée ! Et pas dans n’importe quelles circonstances. Quand croyez-vous qu’elle décida de revendre une partie de son paquet de stock-options de chez Danone ? Le 30 avril 2013, jour où elle exploita une spectaculaire remontée de l’action… juste après l’annonce de 900 suppressions d’emplois. Les restructurations, ça plaît à la Bourse et ça rapporte aux puissants. Résultat de ce coup digne des maîtres des forges : un profit immédiat de 1,1 million d’euros !
Souvent, la responsabilité meurtrière des financiers se dérobe, s’évanouit dans une sorte d’obscurité. La voici en pleine lumière. L’ex-boursicoteuse peut-elle « moralement » conduire la casse du Code du travail, l’aménagement du CDI version Medef, la dérégulation du CDD, etc. ? Osera-t-elle encore affirmer que faciliter les licenciements s’avérera bénéfique à l’emploi, donc aux salarié(e)s ? En somme, Muriel Pénicaud est-elle encore digne du titre de ministre « du Travail » ?
Présidentielle. Il n’a pas officialisé son programme, mais l’ex-ministre de l’Économie distille les propositions qui aggraveront le bilan de la loi El Khomri ou encore du pacte de responsabilité. Multiplication des cadeaux aux entreprises et déréglementation du travail au menu.
« La politique, c’est comme la littérature, c’est un style. C’est une magie. Il faut définir le cœur de ce qu’on veut porter », a également confié dimanche Emmanuel Macron. Allier mystique, incarnation et impasse sur le projet : le paroxysme du présidentialisme. Une façon aussi, en repoussant la mise à plat en bonne et due forme de son programme, de ne froisser aucun de ses électeurs potentiels, venus du PS comme issus de la droite.
Le candidat d’En marche ! ne se prive pourtant pas de rappeler par petites touches son corpus idéologique, distillant depuis des mois ses propositions en matière économique et sociale. « Macron n’est pas lesté des tabous de la gauche, ni de ceux de la droite. Il met sur la table des propositions tranchantes », avance le responsable de son « programme », Jean Pisani-Ferry. Appliqués au Code du travail, aux droits des salariés, à la contribution des entreprises, les termes semblent bien choisis pour celui qui a plaidé alors qu’il était au gouvernement pour la réduction des indemnités prud’homales dans la loi qui porte son nom. En fait de nouveauté, les principales mesures reprennent la logique à l’œuvre dans le quinquennat.
En tête de gondole, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (Cice), qu’Emmanuel Macron veut transformer – comme Marine Le Pen – en « allégement de charges durable », et étendre aux « petites entreprises, indépendants et entreprises de l’économie sociale et solidaires ». Il entend même supprimer l’ISF « pour les actionnaires », pour « favoriser l’investissement ». François Hollande avait déjà « pérennisé » une partie de son « pacte de responsabilité », qui comprend le Cice, en réduction de cotisations sociales selon un « principe » fondateur qu’il résumait ainsi dès 2013 : « moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social ». Résultat, selon un rapport de France stratégie de septembre dernier : 50 000 à 100 000 emplois, pour une dépense de 29 milliards d’euros. « Pas suffisant », juge-t-il, parce que « ce n’est pas vécu par les entreprises comme durable ». Et de promettre, selon le même principe, de nouvelles exonérations, notamment sur le Smic.
En lieu et place d’une augmentation des salaires, Emmanuel Macron entend augmenter la prime d’activité pour « valoriser le travail », et « réduire l’écart entre le salaire brut et le salaire net » en « supprimant les cotisations salariales sur la maladie et l’assurance chômage ». « Cette mesure sera financée entièrement par une hausse de la CSG de 1,75 point. Elle ne coûte rien à l’employeur : il ne faut surtout pas augmenter le coût du travail, qui nuirait à notre compétitivité et donc à l’emploi », peut on lire sur le site d’En marche ! Un refrain déjà entonné : exonération pour les employés payés au Smic, allégement de l’impôt sur les entreprises, suppression de la contribution sociale de solidarité des sociétés… promettait au Medef Manuel Valls, dès le 8 avril 2014, lors de sa déclaration de politique générale.
« Je vous le confirme : son projet n’est pas socialiste ! »Mais ce programme n’est pas seulement la poursuite d’une politique pensée au nom de la « compétitivité », c’est aussi son aggravation. « Il faudra élargir le champ de la négociation collective au niveau de l’entreprise à d’autres domaines. Plus on ira vers l’entreprise, plus ce sera efficace. On ne peut pas prétendre aimer l’industrie et refuser les conditions de son succès », arguait-il, encore ministre, en mai 2016, en pleine mobilisation contre la loi El Khomri, dont il estime qu’elle n’a pas été assez loin. Traduction dans ses propositions : pas de remise en cause de la durée légale du travail, mais possibilité de négocier au cas par cas dans les entreprises pour aller au-delà des 35 heures. « Il faut aussi s’adapter aux individus », ajoutait-il en novembre dernier : « Quand on est jeune, 35 heures, ce n’est pas assez, on veut travailler plus, on veut apprendre son job. » De même, sous couvert d’étendre les droits au chômage à ceux qui en sont aujourd’hui exclus (des indépendants aux salariés qui démissionnent), c’est aussi à la Sécurité sociale, et à ses principes fondateurs, que s’attaque le candidat en proposant de financer l’assurance-chômage par l’impôt, de confier ainsi la gestion de l’Unedic à l’État, de permettre la mise en place d’une retraite à la carte…
« Concernant Macron, je vous le confirme : son projet n’est pas socialiste ! Il est progressiste ! », insiste Jean Pisani-Ferry. Une part de la « modernité » que voudrait incarner Macron est ainsi résumée dans le dépassement du clivage gauche-droite. S’il a réussi à préempter ce terrain du fait de l’échec de Manuel Valls à la primaire socialiste, l’ex-premier ministre l’a longuement occupé. L’un de ses proches, Jean-Marie Le Guen, affirmait encore en août dernier dans le Parisien : « Ne nous enfermons pas dans une gauche sectaire. (...) L’objectif est de construire un camp républicain qui s’opposera au bloc réactionnaire. » Un pari repris à son compte par le candidat d’En marche !, qui l’engage à repousser à plus tard la clarification totale de son programme. Selon les enquêtes des instituts de sondages, son électorat potentiel est pour l’heure le plus volatil de cette présidentielle.
Macron : une start-up en pleine croissance. Le mouvement revendique plus de 140 000 marcheurs en France – l’adhésion est gratuite et se fait en quelques clics sur Internet. Et plus de 3 797 comités locaux existent à l’heure où nous écrivons ces lignes, à en croire le compteur en temps réel sur le site. Derrière ces chiffres, utilisés comme outil de communication, la réalité est différente : il suffi t qu’un adhérent ait créé son comité pour que celui-ci soit comptabilisé, même si n’y sont inscrits qu’un ou deux participants. Le tout est chapeauté par des référents départementaux, en lien direct avec le QG de campagne parisien.
Noël Mamère député Europe Écologie les Verts.
François Hollande n’a peut-être plus de majorité, mais il n’a pastout perdu: ses amis patrons sont de plus en plus nombreux.
Thomas Lemahieu
Mercredi, 27 Août, 2014
http://www.humanite.fr/
Barroso, ancien Premier ministre portugais, flamboyant soutien de Bush père lors de la première guerre en Irak, avait commencé son activité politique à l’âge de 18 ans dans un groupe maoïste après la révolution des œillets. Il était devenu leader du Parti du Prolétariat (MRPP) : « J’ai choisi les prochinois parce qu’ils étaient les plus anti-communistes », soulignait-t-il.
Au mois de novembre 1975, une coalition hétéroclite allant des socialistes à l’extrême droite chassait les militaires de gauche au pouvoir et le MRPP de Barroso lui apportait son soutien. « Je me réveillais d’un rêve ou d’un cauchemar, je revenais dans mon cercle naturel, celui de la petite bourgeoisie », disait-il.
La vérité sur ce personnage mérite quelques précisions. L’ambassadeur des États-Unis au Portugal à l’époque, Franck Carlucci, dépêché par Washington pour ramener le Portugal dans le droit chemin, n’est pas étranger à la reconversion de Barroso. Agent de top niveau de la CIA, Carlucci manipulait et finançait le MRPP. Il découvrait dans le jeune José Manuel un talent d’avenir. Sur les conseils de son nouveau protecteur, Barroso adhérait au Parti social-démocrate (PSD) et gravissait tous les échelons de la hiérarchie. Jusqu’au poste de Premier ministre. L’Union européenne peut donc se satisfaire d’avoir eu à sa tête jusqu’à aujourd’hui un candidat choisi, formaté et propulsé par la CIA.
En est-il de même concernant Jean-Claude Juncker ? L‘ancien Premier ministre inamovible luxembourgeois de 1995 à 2013, protecteur acharné du statut de paradis fiscal de son pays, a été obligé de démissionner de ses mandats à la suite d’une rocambolesque affaire d’espionnage. La plupart des témoins ont soudainement perdu la parole alors que des fuites laissent entendre que les services spéciaux des Etats-Unis, parmi lesquels la célèbre NSA, entretenaient et entretiennent toujours des liens discrets avec Jean-Claude Juncker qui a indiqué lui même avoir « flirté » avec la IV internationale et le mouvement trotskiste ».
Il y a des rapprochements révélateurs. Barroso et Juncker ont tous les deux été membres d’organisations dites « d’extrême gauche » avec des lien directs ou indirects avec la CIA et les services spéciaux des Etats-Unis.....
Vendredi, 27 Juin, 2014 - 17:31
José Fort
Ils n'ont pas de soucis pour boucler leur fin fe mois, Etonnant non !!!
Selon le palmarès de Forbes, les 1645 plus grandes fortunes de la planète accumulent 6400 milliards de dollars, un chiffre en hausse de 1000 milliards sur un an.
Le monde n’a jamais compté autant de milliardaires. Pour son palmarès annuel, la bible du Richistan, le magazine américain Forbes, en a dénombré 1645, un chiffre en hausse de 15,3% depuis l’année dernière et un record absolu. Au total, ces individus ultrariches pèsent à eux seuls 6400 milliards de dollars, contre 5400 milliards, l’année dernière. Un montant faramineux qui correspond à un peu moins de la moitié du PIB de l’Union européenne (13000 milliards d’euros), mais représente quatre fois le PIB de la France (1832 milliards d’euros).
En tête du peloton, Bill Gates, cofondateur de Microsoft, reprend la place de numéro un au Mexicain Carlos Slim: avec une fortune estimée à 76 milliards de dollars (9 milliards de plus par rapport à l’an dernier), le roi de l’informatique et du charity business devance le prince des télécommunications, dont la fortune a fondu de 1 milliard en un an, à 72 milliards, et retrouve le rang qu’il a occupé pendant quinze des vingt dernières années. Sur le podium, Amancio Ortega, patron des magasins de prêt-à-porter Zara, consolide sa troisième place, avec 64 milliards de dollars, soit 7 milliards de plus par rapport à l’année dernière.....
Thomas Lemahieu
Les organisateurs de la Manif pour tous ont tenté ce dimanche de renouer avec l’image bon chic, bon genre des débuts, après les dérapages du Jour de colère du dimanche précédent.
Ambiance sortie de messe et bal de fac de droit à Lyon. Une semaine après les explosions de violence de Jour de colère, à Paris, la bourgeoisie réactionnaire avait rangé les battes de base-ball et ressorti les papis-mamies endimanchés, les jeunes à mèche et les poussettes ornées de ballons roses et bleus pour redorer son blason. Mais, entre deux morceaux de Daft Punk et de Katy Perry – dont les responsables de la sono ignorent manifestement que celle-ci s’est fait connaître avec un morceau s’intitulant?I kissed a girl(J’ai embrassé une fille, en français) –, les organisateurs ont surtout continué d’alimenter les fantasmes sur l’enseignement de la théorie du genre ou la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA). Se targuant d’avoir rassemblé 40000 personnes –moitié moins, d’après la préfecture–, les organisateurs avaient mis les grands moyens pour faire gonfler l’affluence: de nombreux cars de l’ensemble du Sud-Est avaient été affrétés de Marseille, Montpellier, mais aussi de Toulouse, Perpignan et Lourdes....
Loan Nguyen
Plusieurs dizaines de milliers de personnes manifestent à nouveau contre le mariage pour tous. Très attentifs à ne pas se laisser amalgamer aux violences et débordements antisémites du « jour de colère » de dimanche dernier, les mots d'ordres dénoncent la "familiphobie" et une supposée ouverture de la PMA et la GPA aux couples du même sexe.
Créé en opposition au mariage gay voté l'an dernier, le collectif "La manif pour tous" entendait mobiliser pour la défense de la famille, menacée, selon eux, par le gouvernement. Ils soupçonnent la majorité PS, et ce malgré les nombreux démentis, de vouloir étendre la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes, à l'occasion du débat parlementaire sur la future loi sur la famille, et de chercher à légaliser la gestation pour autrui (GPA) avant la fin du quinquennat. "C'est toujours le même message, simplement on voudrait qu'il soit entendu. Le message, c'est la défense des droits de l'enfant et de la famille. Un enfant a droit à un père et une mère", a déclaré Michel Girard, un manifestant venu de l'Oise.
Même principe pour ce qu'ils appellent « théorie du genre », où, malgré les démentis et explications, les manifestants restent convaincus que le gouvernement prépare une loi imposant cette « théorie du genre » qui n'existe pas. Il y a des études sur le genre, mais pas de théorie, encore moins une loi en préparation. « Le genre est un outil que les scientifiques utilisent pour penser et analyser ces différences » explique un collectif d'universitaire excédé par ces rumeurs. En cause, un manuel testé dans quelques écoles qui invite à réfléchir sur les stéréotypes afin de promouvoir l'égalité entre les sexes. "Pas touche à nos stéréotypes de genre", répondent les manifestants, qui continuent à propager les rumeurs....
L'Etat français a annoncé la vente d’une partie de sa participation au capital d'Aéroports de Paris. Une transaction de 10 millions d’actions, estimée à près de 700 millions d'euros au cours actuel. L’Etat entend toutefois rester majoritaire.
Dans un communiqué, le ministre de l'Economie Pierre Moscovici annonce jeudi avoir demandé à l'Agence des participations de l'Etat de préparer la cession d'une partie d'Aéroports de Paris, qui gère Orly et Roissy, auprès de plusieurs investisseurs de long terme. "Cette démarche s’inscrit dans le cadre des orientations du gouvernement pour une politique de gestion active des participations de l’Etat, qui doit permettre de préserver les intérêts patrimoniaux et stratégiques de l'Etat tout en dégageant des ressources en fonds propres pour de nouveaux secteurs porteurs de développement économique."...