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et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
salutations... .........
plu s jamais ça !!!!!!!!!!!!!! ! nous voyons ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
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Par Gobi moussa , le 09.04.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
12.10.2025
37117 articles
D’un blog perso ouvert en avril 2010, au moment où le juge espagnol Baltasar Garzon était dans la tourmente judiciaire, empêché par le Tribunal suprême (héritier des tribunaux franquistes) de lever la chape de plomb du franquisme sur la société espagnole, à un blog hébergé par « l’Humanité numérique », mes coups de gueule et autres coups de sang ont eu belle vitrine jusqu’à ce jour de juin 2020. Dix ans ! Putain, dix ans ! Pas si mal !
Hébergé par l’Huma numérique, mes textes n’ont jamais engagé que le militant (quelque peu impulsif diraient peut-être certains) que je suis ; ils ont recueilli le plus souvent adhésion critique... Et chaque fois que mes opinions, non muselables, n’étaient pas tout à fait dans « la ligne », passées les crispations, le débat a quasiment toujours été possible, aussi nécessaire que riche.
Aujourd’hui, dans une France engluée dans la pandémie coronaviresque, le gouvernement multiplie les rideaux de fumée sur le coût de la « crise » sanitaire, ou plutôt sur sa gestion, sur les autres crises sociale, économique, politique, culturelle... Enfumage de Castaner, aux ordres macroniques, contre ses propres troupes, suspicions de racisme, homophobie, etc.
J’ai écrit, et répété, dans « mon » blog, que la crise était la conséquence, et non la cause du désastre social et écologique actuel. A force d’affaiblir les Services publics, les digues ont lâché. Nous avons à affronter le réchauffement climatique, et autres calamités, qui ne sont pas, quoi qu’on en dise, « naturelles », mais bien dues à la gestion de la biodiversité, des ressources, aux orientations politiques de tous les conservatismes ; la France se retrouve comme au temps de Vichy : l’embastillement de l’ensemble des citoyennes et citoyens n’a fait que pointer, creuser les inégalités, et non les réduire. Sur les champs de la lutte des classes gisent des milliers travailleurs encore plus pauvres, de précaires qui ont faim, de « chômeurs partiels »... plus d’un million de sans espoir sans emploi. Et charité bien ordonnée commençant par soi-même, les classes dominantes, ces charognardes, en profitent, comme toujours, pour s’en foutre plein les poches, sur le malheur d’autrui.
Selon les secteurs, on parle de délais de deux à trois ans avant de retrouver les niveaux, déjà pauvres, de l’avant-Covid-19. Donc, nul ne me fera croire que les fractures dans la société sont tombées du ciel. Derrière les rideaux, la lutte des classes est plus violente que jamais. Des centaines de milliers de personnes ont été cassées par « la séquestration »... il règne partout un climat anxiogène lourd d’instrumentalisation des peurs communes. Certains jeunes, certains vieillards, certaines mères, en sont définitivement marqués. Et nul ne sait ce que nous réserve ce « coup d’Etat sanitaire », au-delà de la casse des conventions collectives, et autres joyeusetés déjà en marche. La si « urgente » réforme des retraites a fini au fond d’une poubelle... Aujourd’hui, ces mêmes classes dominantes qui ont tenté de liquider l’Etat social, réclament davantage d’Etat social. D’où sort l’argent des promesses présidentielles et gouvernementales, si les caisses étaient véritablement vides ?
Ce dont je suis sûr, c’est que la société française a besoin de partis révolutionnaires, de classe. Voilà pourquoi je reste communiste. Pour balancer des pavés contre le système, pour le bouléguer. Pour revendiquer, conquérir, un « jour d’après », des jours d’après, généreux, de solidarité et de partage. La misère n’engendre que la misère.
Ce matin, j’ai changé les rideaux de la maison : ils sont un peu plus gris désormais. Ce travail bénévole sur « mon » blog de « l’Huma » m’a beaucoup apporté, m’a permis de connaître des militants de l’utopie, de retrouver de vieux potes, des communistes, des révolutionnaires... Je poursuivrai le combat jusqu’au bout, avec mes moyens d’aujourd’hui, lourdement handicapé par une maladie félonne. Mais ce soir, pour le blog, je tire le rideau. La pièce, la lutte, elles, continuent, portées par les salariés, les immigrés, les sans-papiers, les précaires, les avocats, les infirmières, toutes celles et tous ceux qui n’entendent pas devenir, sans vendre chèrement leurs yeux et leur peau, des larbins du capitalisme.
Abrazo à tous mes camarades. A tous ceux qui restent communistes, à ceux qui l’ont été... Ne désespérons pas de l’avenir.
Jean Ortiz
On a enfin trouvé la clef contre le chômage : confiner la population jusqu’à ce qu’elle étouffe, et ressorte exsangue après 70 jours d’enfermement par les autorités. La bande à Macron en a sans doute profité pour rogner sur les libertés fondamentales, sur la démocratie, pour traficoter à loisir...
Comment gâcher une si belle occase ! Les commentaires radio que j’ai écoutés aujourd’hui sont indécents (« ça reprend », « ça redémarre », « c’est la reprise »). Ils se félicitent tous du malheur qu’ils sèment. L’argent du gouvernement (le nôtre), ils l’ont empoché, sans rendre des comptes, cet argent arraché à plusieurs sources, et destiné en principe aux plus démunis, aux sans emploi, aux sans-toit.
Telle ou telle grande entreprise « dégraisse », mais ses dividendes se portent au mieux, merci. Près d’un million de chômeurs supplémentaires. Quand il faudra faire le bilan, les morts économiques, politiques, se compteront par milliers, par milliers, sur les charniers du capitalisme... Aujourd’hui, même l’emblématique Renault est menacé. Oubliées les promesses proférées au milieu de la crise politico-sanitaire. Des millions de PME, de télétravailleurs joncheront le sol.
Oui, le confinement a du bon : il permet de sélectionner les espèces sociales. De grandes entreprises sont déjà en train d’annoncer, toute honte bue (avec du rhum cubain), leurs bénéfices.
Ce système est malade, on le sait depuis longtemps ; et c’est lui qu’il faut abattre. Tenter d’obtenir tel ou tel petit avantage, telle ou telle revendication n’est jamais inutile, mais à présent les enjeux doivent se poser en terme de changement de société. Et j’en suis. C’est à ce niveau qu’il faut mettre la barre. Et tenir le cap.
La bande actuelle a fait la preuve de son incompétence, de sa vénalité, de sa soif de dividendes, de son mépris du peuple. Alors, « ¡que se vayan ! »
Jean Ortiz
Le confinement semble toucher à sa fin : 52 jours ! Pour des dizaines de jeunes, entre autres, des traumatismes et des psychoses à vie. Cela s’appelle hacher menu le citoyen comme chair à pâté.
52 jours, nous étions (vous étiez) au bout du rouleau...
Tout ça aura comme conséquence une catastrophe généralisée, tant la gestion de la crise a tardé, a manqué d’ampleur et de clairvoyance.
Et comme si cela ne suffisait pas, ce gouvernement n’a cessé de nous mentir sur les produits et outils essentiels pour contrer le virus (masques, gel, sur-blouses, respirateurs, et pire encore médicaments...). Mentir au peuple, voilà qui est plus que suffisant pour dé-macroniser une bonne fois pour toute.
Dans ce paysage de grande désolation, les inégalités ont crû comme jamais. Les confinés ne sortiront pas indemnes de ce long voyage immobile. Désormais des milliers d’entre eux ont faim...
Et il y a ceux aussi qui ne déconfineront pas, tout simplement parce qu’ils n’ont jamais été confinés, occupés qu’ils étaient à lutter en première ligne, avec les moyens du bord.
Or, aujourd’hui, les banques, les assurances des patrons chicanent sur les versements pourtant dûs, promis et re-promis par le président lui-même.
Et que faire de ces milliers d’asymptomatiques qui déjeunent à la chaîne et contaminent sans le vouloir, sans le savoir...
Dans ce grand chamboulement, les capitalistes cherchent à donner au « jour d’après » les mêmes contours que celui d’avant, en pire, en plus conservateur, en plus autoritaire, en plus vertical... bref, en plus néolibéral. Or, leur cynisme et leur incompétence avérée auraient largement de quoi les discréditer à tout jamais.
Dans ce contexte, la gauche doit se faire entendre et proposer au plus vite une alternative. Sinon, le dé-confinement risque fort de tourner à la déconfiture.
Vite, vite ! Camarades communistes, socialistes de gauche, Insoumis, vert-rouge, trotskistes, et tous les anticapitalistes des mouvements sociaux et syndicaux, levons-nous pour leur dire : « ¡Basta ya! ».
Ça suffit de se moquer du monde ! Ça suffit de toujours faire payer au peuple l’orgie capitaliste ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit, le peuple, déjà saigné aux quatre veines, risque de payer une crise qui globalement n’est pas la sienne !
Jean Ortiz
Peu de catastrophes tombent du ciel. C’est toujours l’imprévoyance, la cupidité du système de l’argent qui font leurs lits, les accélèrent... Admettons que tous les phénomènes météo ne dépendent pas de la droite, mais celui-là aurait pu avoir des conséquences moins criminelles. Quelle honte ! Dans un pays riche... manquer de masques, de gants, de gel hydro-alcoolique... Demander à des soldats de la santé héroïques d’aller au front sans munitions ! Le malheur, tout comme la faim, est organisé
On ne dira jamais assez quelle a été la responsabilité du président Macron et de la Macronie, du fric-roi, de ceux qui ont voulu gagner quelques dividendes électoraux en cachant le développement du drame. Et pour le peuple, combien de larmes, combien d’agonies ? Ce capitalisme doit vraiment être défenestré à tout jamais !
Et le « jour d’après » ? Il n’y en aura pas, parce qu’une telle catastrophe ne terminera jamais dans les usines, les hôpitaux, les esprits, comme dans les prairies.
Aujourd’hui, l’heure est à la lutte ensemble, à la résistance, aux petites entraides, à la solidarité bienveillante... Elle doit mobiliser toutes celles et tous ceux qui croient en l’homme.
Et, « après la fin », il faudra bien éclairer et juger les responsabilités des « chefs » d’un système totalement caduc. Ces « voyous en col blanc » ne peuvent continuer à dominer sans rendre des comptes.
Oui, l’éditorial de "l’Humanité Dimanche" est fort. Dans le malheur, l’unanimité se fera pour « sanctuariser » la Sécurité sociale, en finir avec les réformes financière et des retraites. Nous n’avons cessé de répéter que les solutions passent par des services publics renforcés, érigés en moteurs de la société, par la socialisation et non par la privatisation. Par les communs.
Oui, rouge, plus jaune, plus vert, plus toutes les couleurs de l’arc-en-ciel populaire !
Pour construire, ensemble, enfin, une société où l’homme soit vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, au centre.
Jean Ortiz, universitaire, PAU
Bien sûr, un gouvernement ne saurait être accusé directement de crise sanitaire dans le cas présent du virus du Covid-19 ; mais il aurait été de sa responsabilité de prendre au plus tôt les mesures nécessaires pour enrayer la pandémie annoncée depuis belle lurette par l’OMS. Pourquoi ce retard à l’allumage ? Par calcul électoraliste ? Pour préserver intérêts économiques et dividendes des petits copains ? Vu le développement des choses en Chine, et plus près de nous en Italie, on pouvait pourtant s’attendre à ce qui est en train d’arriver...
Il y a des silences plus profonds que le silence lui-même. A cela, plusieurs hypothèses : en mission, en récupération, en convalescence, en dépression, envoyé sur Mars, la trahison...
L’homme se prend pour Jules César et n’a cure de traverser le Rubicon, au mépris des conséquences.