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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour : 24.11.2025
37122 articles


SNCF

Transport. À la SNCF, rentabilité vaut mieux que sécurité

Publié le 28/10/2019 à 08:43 par andrenicolas Tags : article partage des richesses sur roman mode texte news
Transport. À la SNCF, rentabilité vaut mieux que sécurité
Transport ferroviaire. À la SNCF, rentabilité vaut mieux que sécurité
Lundi, 28 Octobre, 2019

La direction de l’entreprise publique a balayé l’option du retour des contrôleurs à bord de tous les trains et confirme la disparition des agents d’escale, pourtant décisifs pour la sécurité.



Les usagers veulent le retour des contrôleurs

Publié le 23/10/2019 à 20:22 par andrenicolas Tags : société travail texte news sur mode roman
Les usagers veulent le retour des contrôleurs
SNCF. Les usagers veulent le retour des contrôleurs à bord des trains
Mercredi, 23 Octobre, 2019

78% des Français jugent nécessaire la présence d’un contrôleur dans tous les TER selon un sondage publié ce mercredi.

Un sondage publié ce mercredi (Elabe pour BFMTV) révèle que 78% des Français affirment qu' « il faut assurer la présence d'au moins un contrôleur dans chaque TER, même s'il est équipé d'un dispositif équipement agent seul ». Une opinion à rebours de la politique de désertification des trains menée par la SNCF, un camouflet, aussi, pour un gouvernement qui continue de considérer comme illégal, le droit de retrait dont se sont saisi 17 000 cheminots suite à l’accident du 16 octobre dans les Ardennes. Un accident qui aurait pu être dramatique sans le professionnalisme du conducteur, pourtant blessé, mais seul cheminot à bord.

Selon ce sondage, les usagers réguliers et occasionnels de TER, Intercités et Car TER SNCF sont les plus nombreux à estimer que les agents SNCF ont eu raison de cesser le travail (57%), contre 52% des personnes n’utilisant jamais les TER.

Plus largement, 66% des personnes interrogées estiment qu’à l’exemple du sursaut cheminot, les mobilisations sociales vont s’amplifier dans le pays. Plus de la moitié des sondés (53%) font confiance aux syndicats pour organiser la riposte à la politique antisociale du gouvernement et jugent, à 44%, que leur action est efficace. Les personnes interrogées estiment enfin, à 48%, que les syndicats sont « plutôt un élément de dialogue » contre 51% qui considèrent qu’ils sont « plutôt un élément de blocage de la société ».

Service économie et social
 


Un droit de retrait massif, symptôme d’un large malaise

Publié le 22/10/2019 à 09:41 par andrenicolas Tags : parta mode centerblog sur roman texte news
Un droit de retrait massif, symptôme d’un large malaise
Sncf. Un droit de retrait massif, symptôme d’un large malaise
Mardi, 22 Octobre, 2019

Le droit de retrait des cheminots s’est propagé comme une traînée de poudre à la suite de l’accident du TER, signe d’une profonde inquiétude des salariés après une réforme ferroviaire délétère, imposée sans concertation.

Alors que les principaux trains longue distance (Ouigo, TGV) reprenaient les rails ce lundi, le retour à une circulation normale était beaucoup moins clair sur les TER et Intercités. Parmi les zones les plus touchées, la Champagne-Ardenne restait particulièrement perturbée. C’est là que l’accident a eu lieu mercredi soir, entraînant un droit de retrait généralisé des agents craignant pour leur sécurité. « Le droit de retrait doit amener des mesures immédiates de la direction, et rien ne s’est passé », a dénoncé Laurent Brun, secrétaire général de la CGT cheminots, lundi, sur RMC. « Nous constatons qu’il n’y a que lorsque nous menons des actions que la direction prend des mesures. Sur les TER, les modules radio sont à l’avant du train. Cela fait plusieurs fois que nous remontons le problème. (…) Il a fallu ce droit de retrait d’une ampleur exceptionnelle pour que la direction accepte de corriger cette malfonction », a dénoncé le syndicaliste.



L’État et la SNCF font le choix de la ligne dure

Publié le 21/10/2019 à 10:34 par andrenicolas Tags : partage des richesses roman mode news texte saint sur
L’État et la SNCF font le choix de la ligne dure
Service public ferroviaire. L’État et la SNCF font le choix de la ligne dure
Lundi, 21 Octobre, 2019

En menaçant de sanctions les cheminots exerçant leur droit de retrait, accusés de mener une grève illégale, Édouard Philippe et Guillaume Pepy portent une lourde responsabilité dans la paralysie du trafic ce week-end.

Pas question de porter le chapeau. Ce dimanche, au bout du fil, le secrétaire général de la CGT cheminots, premier syndicat de la SNCF, se fait accusateur : « Un droit de retrait, ça se règle en quelques heures, normalement. Sauf qu’il y a eu intervention politique, et elle a verrouillé complètement les discussions. » Même si le trafic ferroviaire devrait revenir à peu près à la normale à compter de ce lundi, la page ouverte par le bras de fer qui a opposé, durant trois jours, les cheminots et leurs syndicats, d’un côté, et la direction de la SNCF et le gouvernement, de l’autre, n’est pas près de se tourner. Pour Laurent Brun, la responsabilité du premier ministre est clairement engagée dans la paralysie du trafic ferroviaire qui a gagné la plupart du pays, au cours de ce week-end de départ en congés de la Toussaint, à la suite de l’accident qui s’est produit mercredi 16 octobre, entre un train express régional (TER) et un convoi routier sur un passage à niveau de Saint-Pierre-sur-Vence (Ardennes)

www.referendum.interieur.gouv.fr/soutien/etape-1
http://www.humanite.fr/
Suivez la progression des soutiens sur le site

https://www.adprip.fr/



Sous-traitance. Les cheminots remportent une bataille

Publié le 05/09/2019 à 23:13 par andrenicolas Tags : sur texte news roman mode partage des richesses
Sous-traitance. Les cheminots remportent une bataille
Sous-traitance. Les cheminots remportent une bataille
Vendredi, 6 Septembre, 2019

La justice a condamné SNCF Réseau à suspendre la sous-traitance sur les travaux et la maintenance. Une victoire pour la CGT, contre la stratégie d’externalisation du groupe public.

www.referendum.interieur.gouv.fr/soutien/etape-1
http://www.humanite.fr/



La SNCF ferme ses portes aux voyages en groupes

Publié le 22/03/2019 à 09:50 par andrenicolas Tags : sur nuit texte news mode romanpartage des richesses
La SNCF ferme ses portes aux voyages en groupes
Transport. La SNCF ferme ses portes aux voyages en groupes
Vendredi, 22 Mars, 2019

En liquidant ses agences spécialisées dans l’organisation des voyages de plus de vingt personnes, l’entreprise prépare la concurrence et nuit, une nouvelle fois, au service public.

Désormais, les passagers voyageant en groupe de plus de vingt personnes trouveront porte close dans les agences SNCF jusqu’alors dédiées à ce type de déplacement spécifique. C’est la dernière mesure imaginée par la direction de l’entreprise ferroviaire et annoncée, le 14 mars dernier, aux représentants du personnel. « Au total, ce sont 266 emplois des agences de Paris, Lille, Nantes, Bordeaux, Marseille et Lyon qui sont directement menacés dès septembre 2019 », alerte la CGT. Ce faisant, la SNCF acte la disparition de six agences groupes sur sept et la suppression de 82 % de leurs salariés. Seul le point de vente de Strasbourg passerait vraisemblablement entre les mailles du filet.

À Lyon, l’agence groupes de Perrache est ainsi dans la liste des condamnées. En tout, 45 salariés sont mis sur la touche, « des collègues qui viennent d’apprendre la nouvelle et tombent un peu de l’armoire », témoigne...

http://www.humanite.fr



Jean-Michel Dieudonné : Radié de la sncf sans procès

Publié le 02/01/2019 à 23:04 par andrenicolas Tags : cadre texte news roman partage des richesses
Jean-Michel Dieudonné : Radié de la sncf sans procès
Jean-Michel Dieudonné : Radié de la sncf sans procès ni preuve
Jeudi, 3 Janvier, 2019

 À trois ans et demi de sa retraite, le cheminot, 28 ans d’ancienneté, n’en revient toujours pas. Mais il l’affirme : « Ils vont devoir s’expliquer. Je ne vais pas m’arrêter là. »

Il n’a désormais plus de recours en interne mais Jean-Michel Dieudonné reste combatif. À 53 ans, cet aiguilleur fret à Nancy et figure de la CGT locale vient d’être « radié des cadres ». Licencié dans le jargon de la SNCF. Après demande de réexamen, sa sanction a été confirmée le 21 décembre par Guillaume Pepy. L’affaire remonte au 27 juillet dernier et elle est ubuesque. Ce jour-là, le cheminot est en grève pour soutenir un camarade menacé de sanction. À l’heure de prendre son train gare de l’Est, il tente de faire échanger son billet. Le guichet a rideau baissé et le ton monte avec la cadre d’astreinte. « Nous étions plusieurs et je n’ai insulté ni bousculé personne », assure Jean-Michel Dieudonné. Une plainte contre lui sera pourtant déposée « trois jours après les faits » sans que le cheminot soit convoqué pour s’expliquer. Il recevra, « juste après la Fête de l’Huma », une convocation à un entretien préalable à licenciement. Motifs : « insultes, outrage et “geste inapproprié” ». À trois ans et demi de sa retraite, le cheminot, 28 ans d’ancienneté, n’en revient toujours pas. Mais il l’affirme : « Ils vont devoir s’expliquer. Je ne vais pas m’arrêter là. »

Marion d’Allard


Transports. La SNCF raye 2 000 postes l’an prochain

Publié le 22/12/2018 à 16:11 par andrenicolas Tags : monde sur chez travail annonce cadre texte news créations roman
Transports. La SNCF raye 2 000 postes l’an prochain
Transports. La SNCF raye 2 000 postes l’an prochain
Vendredi, 21 Décembre, 2018

Le projet de budget présenté aux syndicats prévoit une nouvelle saignée de l’emploi pour 2019.

Guillaume Pepy avait annoncé la couleur en octobre, après l’adoption définitive de la réforme ferroviaire. « D’ici à 2026, de 10 à 15 % des 140 000 postes actuels vont disparaître », selon le PDG de la SNCF, soit 15 000 à 20 000 emplois de l’entreprise publique. Le budget, présenté aux syndicats mercredi, porte la marque de cette volonté de la direction de réduire drastiquement les effectifs. Près de 2 300 emplois (2 257 exactement) devraient être supprimés à la SNCF l’an prochain, dont 2 095 dans sa branche Mobilités, chargée de l’exploitation quotidienne des TGV et autres TER (trains express régionaux). 162 postes seront par ailleurs rayés de la holding de tête. Si l’on inclut les 171 créations de postes prévues chez SNCF Réseau, le troisième établissement public industriel et commercial, chargé de l’entretien des voies, le solde sera négatif en 2019 de 2 086 emplois.

« On va faire plus avec moins de monde »

Les syndicats ont rejeté unanimement ce projet de budget, qui « va à rebours des besoins de service public en territoire et de ceux des cheminots », selon Laurent Brun, le secrétaire général de la CGT cheminots. « Nous sommes à 4 000 postes supprimés en deux ans », a calculé l’animateur du collectif des cheminots communistes Thomas Portes, qui dénonce un « véritable saccage du service public ferroviaire » et appelle à la « mobilisation générale ». La suppression de 2 081 postes avait en effet été programmée pour 2018. Au total 25 000 emplois ont été détruits à la SNCF entre 2007 et 2017, selon des estimations syndicales.

SUD rail a exprimé son incompréhension des choix d’une direction « qui supprime les emplois tout en externalisant le travail des cheminots auprès de prestataires extérieurs ». Pour l’Unsa ferroviaire, il arrive « ce qu’on craignait. L’État s’était engagé à reprendre une partie de la dette (35 milliards d’euros sur 47 milliards, dans le cadre de la réforme de la SNCF – NDLR), mais en échange réclame des économies drastiques », a fait valoir le secrétaire général du syndicat, Roger Dillenseger. « On va faire plus avec moins de monde », a-t-il ajouté, estimant que le budget 2019 va « se traduire par la fermeture de guichets, moins de contrôleurs ». Cette saignée de l’emploi intervient au moment où la direction annonce « 8 à 9 % de progression des chiffres d’affaires », relève pour sa part Didier Aubert, secrétaire général de la CFDT cheminots, pour qui ces choix sont le signe que « le social n’existe pas à la SNCF ».

Sébastien Crépel
 


Au Pays basque, la mobilisation paie contre le licenciement

Publié le 08/11/2018 à 14:47 par andrenicolas Tags : france sur saint cadre texte place news coupable roman
Au Pays basque, la mobilisation paie contre le licenciement
Sncf. Au Pays basque, la mobilisation paie contre le licenciement d’un syndicaliste
Lundi, 5 Novembre, 2018

Menacé par la direction régionale de radiation, un cheminot CGT de Bayonne, injustement accusé d’avoir bousculé une cadre de l’entreprise, échappe au couperet grâce, entre autres, à un immense élan de solidarité.

«Laurent Douthe restera cheminot et contrôleur à Bayonne ! » Le communiqué commun des syndicats de cheminots d’Hendaye, Bayonne et Saint-Jean-de-Luz a le goût de la victoire. Il est l’épilogue d’une bataille de plusieurs mois, entamée en juillet dernier pour éviter à l’un d’eux la sanction maximale à la SNCF : la radiation des cadres, autrement dit, le licenciement. « Le dossier était vide et rien ne justifiait que la direction s’acharne ainsi sur ­Laurent », explique Julien Delion, secrétaire du syndicat CGT des cheminots de Bayonne.

Pourtant, au Pays basque, comme « un peu partout sur le territoire (…), des mesures à l’encontre des cheminots grévistes ont eu lieu », au terme de plus de trois mois de mobilisation contre la réforme ferroviaire, rappelle la CGT.

Lors du 22 juin, aucun événement particulier n’avait été signalé

C’est dans ce contexte que Laurent Douthe s’est retrouvé accusé d’avoir bousculé une cadre de l’entreprise le 22 juin dernier, jour de mobilisation en gare de Saint-Jean-de-Luz. « Depuis le début de l’affaire, quand Laurent a reçu de la direction, en plein mois de juillet, soit deux semaines après les faits présumés, une demande d’explication, la solidarité s’est mise en place pour faire bloc derrière notre collègue », poursuit Julien Delion.

Présent en gare de Saint-Jean-de-Luz ce jour-là, le syndicaliste se souvient d’un « rassemblement festif, officiel et organisé, en présence d’un huissier, de 27 policiers et de six cadres de l’entreprise », une journée de mobilisation « qui s’est bien passée, et où aucun événement particulier n’a été signalé, ni dans le rapport d’huissier, ni auprès de la police ». Qu’importe, la mécanique de sanction s’est mise en route et le contrôleur, syndicaliste CGT, a dû se soumettre au conseil de discipline, en septembre, à l’issue duquel la radiation semblait plus que probable.

Pourtant, la direction régionale, à qui il appartient in fine de décider de la sanction, n’est pas allée jusque-là. « Honnêtement, nous ne savons pas pourquoi elle n’a pas suivi l’avis du conseil de discipline de licencier Laurent », explique Julien Delion. Mais une chose est certaine, « le rapport de force et la solidarité des cheminots et des élus a joué en notre faveur ». Il faut dire qu’à chaque échéance du parcours disciplinaire, la mobilisation a été au rendez-vous, avec des rassemblements d’un demi-millier de personnes, comme à Bordeaux, le jour du conseil de discipline. « On a fait signé 2 700 cheminots au bas d’une pétition contre son licenciement, et à chaque fois que Laurent était convoqué, on avait des taux de grévistes de 90 % sur tout le Pays basque », se souvient Julien Delion, qui note aussi un large soutien politique. De celui « exceptionnel » de Jean-Marc Lespade, maire communiste de Tarnos, aux lettres envoyées à la direction par le PCF, La France insoumise et Génération(s).

Malgré la victoire, douze jours de mise à pied

Si la victoire est incontestable, Laurent Douthe écope tout de même de douze jours de mise à pied. Car, à la SNCF, « chaque passage devant un conseil de discipline est obligatoirement assorti d’une sanction de mise à pied, que l’on soit coupable, ou non, c’est inscrit dans notre statut de “privilégié” », ironise Julien Delion. Certes, les 1 800 euros récoltés en quelques jours dans la cagnotte de solidarité lancée par la CGT rendront moins douloureuse la sanction. Mais « Laurent ne va pas très bien. Il a été choqué. Il lui faudra du temps pour remettre son uniforme et reprendre le chemin de la gare de Bayonne ». 

Marion d’Allard


Sncf. Au Pays basque, la mobilisation paie...

Publié le 04/11/2018 à 23:28 par andrenicolas Tags : cadre texte news roman sncf partage des richesses
Sncf. Au Pays basque, la mobilisation paie...
Sncf. Au Pays basque, la mobilisation paie contre le licenciement d’un syndicaliste
Lundi, 5 Novembre, 2018

Menacé par la direction régionale de radiation, un cheminot CGT de Bayonne, injustement accusé d’avoir bousculé une cadre de l’entreprise, échappe au couperet grâce, entre autres, à un immense élan de solidarité.