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Par Anonyme, le 19.11.2025
salutations s'il fallait parler de toutes les horreurs actuelles, cela ferait un sacré bouquin
cordialement
Par pat, le 10.11.2025
et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
24.11.2025
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Dernière journée du procès en appel, hier, avec les plaidoiries des avocats de l’ex-ministre
C’était au tour, hier, d’Éric Dupont-Moretti, l’avocat principal de Jérôme Cahuzac, de plaider pour son client, dans une dernière tentative de le faire échapper à la prison ferme, avant le rendu de la décision de la cour d’appel de Paris, le 15 mai. Après que l’avocat général a requis la veille la « confirmation » de la décision du tribunal en première instance, en 2016, à trois ans de prison ferme pour l’ex-ministre de François Hollande, Dupont-Moretti a axé toute sa plaidoirie autour d’un objectif : rendre un visage humain à son client. Celui-là même qui fut, selon son avocat, « victime de la vindicte populaire », dont le tribunal ne devrait pas être « la caisse de résonance ». « La première fois que j’ai rencontré Jérôme Cahuzac, il était planqué dans un appartement parisien, avachi dans un canapé, humilié, honteux », commence-t-il, ponctuant son introduction par des silences. « Il est seul, Jérôme Cahuzac », il est un homme « prisonnier de son mensonge », détenteur d’un « pognon traîné comme un boulet », qui « n’a pas envie que tout s’écroule »… jusqu’à cette anecdote qu’il détaillera la voix basse et tout près du prévenu qui lui tourne le dos : ces longues heures où l’ex-ministre du Budget est resté dans son bureau d’avocat, s’y sentant « protégé ». « Agressions », « paparazzades », impossibilité de trouver un travail… « Il faut aller jusqu’où ? » interroge l’avocat, qui enchaîne : « Et s’il se flingue en prison ? »
L’ultime bouteille à la mer de la défenseAlors que l’avocat général avait souligné la veille la « contribution », avec ce procès, de Jérôme Cahuzac dans la lutte contre la fraude fiscale, qui fera de lui une « jurisprudence », ce point précis sera l’ultime bouteille à la mer de la défense. Avec Jean-Alain Michel, le deuxième avocat de Cahuzac, Dupont-Moretti opposera à cette affaire le cas de Liliane Bettencourt, qui a subi, elle, un simple redressement fiscal portant sur des comptes à l’étranger. Et de citer les exemples de condamnations à une peine de prison avec sursis pour fraude fiscale en France pour des montants parfois « supérieurs ». Alors, l’avocat « ne demande pas la lune », dit-il, et « suggère même d’aggraver la peine », en augmentant la peine avec sursis : « Je vous supplie de ne pas l’envoyer en prison », adresse-t-il à la cour, car « Cahuzac en prison, ce n’est pas une décision de justice ». « Est-il osé de dire qu’il a déjà trop payé ? » interpelle de son côté Jean-Alain Michel, qui évoque la « juste peine », celle qui « n’accable pas plus que nécessaire un homme fini, fracassé ».