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Par Anonyme, le 19.11.2025
salutations s'il fallait parler de toutes les horreurs actuelles, cela ferait un sacré bouquin
cordialement
Par pat, le 10.11.2025
et pour les chrétiens massacrés en terre musulmane; on fait quoi ???? http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
entierement d'accord ..... http://arbraca mes.centerblog .net
Par pat, le 09.05.2025
encore un fameux rigolo ............. la france est perdue ce n'est plus qu'une question de temps .... http://
Par pat, le 09.05.2025
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Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour :
24.11.2025
37122 articles
Loin des cérémonies officielles, les Amis de l’Humanité célébreront l’année du centenaire de la mort de Jaurès avec enthousiasme. Un Jaurès plus que jamais vivant. Sa parole fera vibrer public et chapiteau.
Les Amis de l’Humanité se sont construits sur le croisement des «cultivatures». Mot créé par un acteur fondateur de l’association, Bernard Lubat, entremêlant l’émancipation sociale et l’art. Comme il se trouve que ce sont les deux «mamelles» du socialisme naissant en France, l’année du centenaire de la mort de Jaurès, donc du Jaurès vivant à cultiver et non d’une icône à célébrer, ou pire encore à pleurer, les Amis de l’Huma feront feu de tout bois, en cette année 2014, pour raviver les braises avant que vienne la cendre (Jaurès) de dévots qui se hâtent, cette année plus que jamais, de le célébrer cérémonieusement. On attaquera, dès le vendredi, par les éclats du Discours à la jeunesse qui surprendront. Il y avait un tel enthousiasme chez le député de Carmaux réélu en 1902 qu’il pouvait parler de cette façon, dans le registre d’un romantisme révolutionnaire inspiré, réfléchi, argumenté, de l’avenir d’une société nouvelle, œuvre confiée aux «jeunes gens» auxquels il s’adressait à Albi le 30juillet 1903.
Réfléchir à partir d’expériences multiples ne peut pas faire de mal
Comme il les interpellera, en janvier1914, aux obsèques de Francis de Pressensé: «Qu’allez-vous faire de vos vingt ans?» Le duo d’un acteur d’un vrai tempérament et d’un batteur de jazz aidera à saisir que Jaurès, ce n’est pas tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil… Le bal républicain, quelle meilleure appellation pouvait-on trouver, avec les Grandes Bouches de Toulouse, pour emballer en chansons la soirée? Il y aura, samedi, l’histoire, celle qui parle cru d’aujourd’hui des Pinçon-Charlot, celle des indomptables face à la guerre qu’ont été Rosa Luxemburg, Antonio Gramsci et Jaurès lui-même. Il y aura, au chapitre des luttes sociales, des femmes qui ont également quelque chose d’indomptable et des jeunes gens auxquels est posée la question de faire face quand le monde est si dur, quand il semble si fermé à double tour. Crise de civilisation? Est-ce une expression passe-partout ou une réalité incontournable? Le journalisme est confronté, aujourd’hui, à ce formidable et cruel défi. Réfléchir à la réponse à apporter à cette question, réfléchir à partir d’expériences multiples ne peut pas faire de mal… Pour leur 19e Fête à La Courneuve, les Amis de l’Huma ne passeront pas à côté de l’originalité artistique qui tranche sur ce qui se voit partout… Samedi soir, trio de jazz et bal venus en droite ligne de la forge d’Uzeste musical. Le lendemain, le Perrone d’un dimanche à la campagne… en Seine-Saint-Denis. Et puis, deux pierres précieuses: la Grecque Angélique Ionatos, magnifique, précédée d’une autre figure de la poésie, l’actrice Anouk Grinberg, lisant du Jaurès…! Et, au final du dimanche après-midi, le chant du Basque Benat Achiary venu au passage, en ami. André Benedetto a écrit et joué, il y a exactement trente ans, pour les quatre-vingts ans de l’Humanité, à Carmaux, Jaurès, la voix. Il ne savait pas si bien dire!
Charles Silvestre
Mercredi, 3 Septembre, 2014
http://www.humanite.fr/
Passer du Front de Gauche au Front du Peuple pourrait se réaliser avec Un nouveau Front Populaire et Un nouveau Conseil de la Résistance pour que l'histoire n'ait pas l'intention de bégayer.
AN
L'historien israélien Zeev Sternhell a fait des idées le coeur de son métier et de toute sa vie. De ses travaux sur les racines françaises du fascisme -qui ont suscité et suscitent toujours, de vives polémiques- à la lutte pour la création au Proche-Orient de deux Etats, juif et palestinien, elles sont au centre d'un combat intellectuel et politique sous le signe des Lumières françaises. Rencontre avec un intellectuel pleinement ancré dans son temps, à l'occasion de la parution de l'ouvrages d'entretiens "Histoire et Lumières. Changer le monde par la rasion"....
«Dessiner des scènes de batailles n’est pas l’essentiel, ce qui m’intéresse, c’est ce qui reste après le chaos, dans la chair des hommes et leurs consciences.» Quand Jacques Tardi parle de son travail sur la Première Guerre mondiale (1), il n’oublie jamais que le support de son art, la BD, offre aux lecteurs toutes les facettes de la représentation – l’image et le texte – et par là-même un point de vue, pour ne pas dire un parti pris, qu’il assume pleinement, «celui de ceux qui subissent». Invité à la Maison des métallos, samedi 17 mai, à l’initiative des Amis de l’Humanité, Jacques Tardi a longuement évoqué la «Putain de guerre», aux côtés d’Ernest Pignon-Ernest et de Pierre Buraglio. Les trois artistes, à partir de leurs domaines respectifs et de leurs expériences singulières, ont tenté de répondre à une question complexe et pourtant fascinante: comment représenter la guerre, avec, comme matrice fondamentale, «ce qu’on inflige aux hommes», comme l’a suggéré Ernest Pignon-Ernest....
C’était un temps où la Cour suprême des États-Unis faisait déjà la pluie et le beau temps mais elle y faisait plutôt le beau temps. C’était un matin de printemps des «fifties», le 17 mai 1954 pour être exact. La plus haute juridiction du pays avait à juger une affaire opposant Linda Brown au bureau de l’éducation.
La première est une élève noire, habitante de Topeka, au Kansas. En 1951, sa famille veut l’inscrire à l’école la plus proche du domicile?: une école blanche alors que l’établissement réservé aux Noirs est distant de plus d’un kilomètre. Inscription refusée. Le père de Linda porte l’affaire en justice. La loi de l’État du Kansas autorise le principe des écoles séparées dans les villes de plus de 15000 habitants, mais seulement pour le cycle primaire. L’avocat en charge du dossier se nomme Thurgood Marshall. Il est missionné par la National Association for the Advancement of Colored People (Association nationale pour la promotion des gens de couleur), organisation des droits civiques fondée au début du XXe siècle. Il ne sait pas encore, et pour cause, qu’il sera le premier juge noir nommé à la Cour suprême en 1967. En attendant, devant la juridiction, il mène une class action, car en plus de la jeune Brown, il a rassemblé plusieurs cas similaires.....
L’historien, spécialiste de la Grande Guerre, revient sur la nouvelle étape mémorielle que peuvent représenter les commémorations du centenaire de la der des der.
L’idée d’engager une nouvelle étape dans la réhabilitation des fusillés pour l’exemple semble se développer. Qu’en pensez vous ?
Nicolas Offenstadt. Le plus important, sur cette question des fusillés, c’est de comprendre qu’elle s’inscrit en réalité dans un processus qui s’est engagé dès l’entre-deux-guerre, c’est-à-dire que la question des fusillés n’a jamais cessé d’être posée. Dans les années 1920 et 1930, il y a des milliers d’anciens combattants qui militent pour la réhabilitation d’un certain nombre de fusillés et pour faire condamner ce qu’on appelait les «crimes des conseils de guerre». Ils ont obtenu des dizaines de réhabilitations. La justice militaire, plus généralement, ce sont les anciens combattants de 1914 qui l’ont remise en cause, à tel point qu’elle a été réformée en 1928. Le problème dans la commémoration telle qu’elle a été engagée me semble porter sur le fait que le gouvernement a fait le choix de commémorer à la fois 1914 et 1944. Ce double anniversaire me paraît être une source de confusion. Par ailleurs, l’idée de célébrer la Grande Guerre en donnant l’image d’une unité idéalisée de la nation en guerre est erronée. En fait, de nombreuses conflictualités, résistances et luttes l’ont traversée.....
Extraits
Entretien réalisé par ?Jérôme Skalski
Historien et économiste, spécialiste du monde arabe, Georges Corm (1) décrypte les risques d’une intervention armée en Syrie pour la région, le rôle des différentes puissances, comme l’Arabie saoudite, Israël, l’Iran, et le jeu des alliances.
Quel impact peut avoir une intervention en Syrie même présentée comme rapide et courte ?
Georges Corm. On ne peut vraiment pas savoir car cela dépendra de l’ampleur de cette attaque. Si elle est courte, en principe elle peut passer sans qu’il y ait de riposte pouvant dégénérer en affrontements plus larges. En revanche, si elle est ravageuse en termes de vies humaines, comme cela est très possible à constater la concentration de forces militaires à haut pouvoir de destruction, on ne sait pas ce qui peut se passer. D’ailleurs, le régime pourrait en sortir renforcé, contrairement à l’objectif recherché.
Les années 60 laissant place aux années 70, Hobsbawm arrêta de défendre l’économie nationalisée et planifiée pour devenir membre de la tendance Eurocommuniste – à l’intérieur du Parti Communiste Britannique (PCGB). Il y fournit des justifications théoriques non seulement en faveur de la dissolution du Parti Communiste, mais également pour le virage droitier du Parti Travailliste de Grande-Bretagne, ce qui lui valut l’épithète de « communiste préféré » de la part de Neil Kinnock.
La rupture d’Hobsbawm avec le Stalinisme
En 1956, Khrouchtchev exposa les crimes du stalinisme lors du 20e congrès du Parti Communiste Soviétique. Le résultat eut l’effet d’une bombe sur ceux qui, comme Hobsbawm, avaient servilement défendu le stalinisme pendant des années.
Bien qu’il rompit officiellement avec le stalinisme, Hobsbawm persista dans la justification de son passé stalinien jusqu’à la fin – tout en cherchant à couvrir ses traces. Dans un de ses derniers livres, ironiquement intitulé Comment changer le monde, voici ce qu’il écrit sur les fameuses purges de Staline :
« Il est impossible de comprendre la réticence des hommes et des femmes de gauche à critiquer, ou même le plus souvent à reconnaître ce qu’il se passait en URSS ces années-là, ou l’isolement des critiques de gauche sur l’URSS, sans réaliser que dans cette bataille contre le fascisme, le communisme et le libéralisme combattaient, au sens profond, pour la même cause. Sans oublier de mentionner le fait évident que, dans le contexte des années 30, ce que Staline a fait était un problème russe, certes choquant, mais ce que Hitler fit était une menace mondiale. » (How to change the world, p. 268)
Les infâmes procès de Moscou n’étaient rien d’autre qu’une violente guerre interne menée par Staline contre le Parti Bolchévique et contre les vétérans bolcheviks de la Révolution d’Octobre – dont en particulier Léon Trotsky — qui avaient participé à la création de l’Union Soviétique en compagnie de Lénine. Dans le but de consolider la bureaucratie totalitaire du régime, Staline se devait d’exterminer tous les camarades de Lénine. Comme un criminel des plus ordinaires, il ne voulait laisser aucun témoin en vie qui aurait pu le dénoncer.... (extraits)
Traduction de l’article Hobsbawm, part 2 : The Apostle of Blairism
Alan Woods
http://www.lariposte.com/
On peut s’interroger sur la forme, qui est, comme on le sait, toujours la forme d’un contenu. François Hollande avait choisi hier de donner à son hommage à la création du CNR, le 27 mai 1943, le sens d’une réunion sans apparat, en présence toutefois de médias choisis, semble-t-il, et dans le cadre scolaire du lycée Buffon, à Paris.
Une courte intervention laissait la place ensuite a des questions posées par les lycéens aux anciens résistants présents. Sans doute n’est-il de meilleure communication que celle qui affecte de ne pas en être. On y verra sans doute le souci, du moins le souci affiché, de ne pas instrumentaliser le CNR. On ne peut en même temps s’empêcher de penser que ce minimalisme formel permettait de s’en tenir aux généralités, lesquelles ont cet avantage qu’elles se passent de programme.....
Par Pierre Clavilier. Le dimanche 25 mai 1913, au Pré-Saint-Gervais, au lieu-dit la butte du Chapeau-Rouge, à proximité de Paris, la SFIO organisait un rassemblement populaire. L’image du tribun socialiste s’adressant à la foule de 150000 personnes devait rester dans la mémoire collective.
Depuis 1912, les opposants à la guerre, dont les socialistes sont au premier rang, manifestent régulièrement leur mécontentement en se retrouvant notamment sur la butte du Chapeau-Rouge, devenue le rendez-vous habituel des pacifistes.
Au début de 1913, l’empire allemand augmente ses effectifs militaires. Les responsables de l’armée française désirent en conséquence obtenir le même nombre de soldats. Une loi prolongeant d’un an le service militaire, le faisant passer à trois ans, leur semble la solution afin de rivaliser avec l’armée du Reich. Pour les responsables de l’état-major, la force d’une armée c’est son nombre. Partisans d’une stratégie fondée sur l’offensive, les généraux ont besoin dans cette optique de l’effectif le plus large possible.....
Pierre Clavilier